La queue du lion
Datte: 29/03/2019,
Catégories:
fh,
couleurs,
vacances,
forêt,
pénétratio,
Humour
Auteur: Mia Enon, Source: Revebebe
... je réussis seulement à faire remonter le tee-shirt encore plus haut, le régalant du spectacle de mes (superbes) fesses. Les joues cramoisies je rabats l’étoffe. Et m’entends sommée d’accorder un baiser en paiement du portage.
Sans attendre la réponse Wilson s’agenouille sans me lâcher et me dépose sur une des deux nattes servant de matelas (celle d’Antoinette, tant pis pour elle). Dans le même mouvement il cherche à m’embrasser. Je détourne la tête, un peu par jeu, un peu pour ne pas trop lui faciliter la tâche, mais finis par laisser les énormes lèvres se plaquer sur les miennes. La langue du lion force le rempart de mes dents qui cède sans trop de résistance. La bouche envahie, je sens une main impatiente palper mon ventre et mes seins et trousser le tee-shirt jusqu’au cou. J’ai déjà capitulé en esprit, mais mon corps attendait d’autres caresses préliminaires que ce pelotage rapide. En vain : le roi lion est trop excité par le parcours depuis la douche pour accorder un répit à la petite gazelle. Il se redresse pour se débarrasser de son short, dégageant une verge de bonne taille érigée jusqu’au nombril. J’essaie de me dégager, sinon pour le fuir, au moins pour le ralentir un peu, mais l’animal est trop affamé. Il s’agenouille entre mes cuisses, les lève haut et entreprend de me pénétrer sans autre cérémonie.
Il est bien doté par la nature et l’huis où il frappe n’est encore qu’entrouvert. Peu lui importe : il le force à grands coups de bélier, engaine jusqu’à la ...
... garde et poursuit en me besognant d’importance. Ensevelie les jambes en l’air sous cette masse en rut, je dois subir bon gré mal gré un assaut copieux. Mon partenaire me pistonne sans vergogne, à la poursuite de son seul plaisir qu’il rejoint d’un dernier coup de reins alors qu’à peine mon émoi préludait. Il se fige et éjacule en moi en longs jets crémeux. Heureusement que je prends la pilule, sinon cet étalon m’aurait sûrement fait un enfant. Que dis-je, vu la dose, au moins des triplés !
Quand il veut se retirer je le maintiens en moi, dans l’attente d’un orgasme qui tarde à venir. Je n’obtiens finalement qu’une petite secousse à classer bien bas dans l’échelle de Richter. Dépitée, j’essaie de me dégager du quintal de muscles qui pèse sur moi, mais mon nouvel amant est d’un autre avis, peut-être pour se faire pardonner son impatience. Toujours planté en moi, il soulève le torse, me sourit, caresse une joue, un sein, pince un tétin, achève de me dépouiller du tee-shirt. Dans le même temps je le sens de nouveau grossir et se raidir au fond de mon ventre. Alléluia, un fusil à deux coups ! Je lui enfonce mes ongles dans les reins et l’encourage en lui mordillant le torse.
Glissant les mains sous mes fesses il me presse contre son giron et entame un va-et-vient long et profond, sur un tempo aussi lent que celui de tout à l’heure était précipité. Son sexe enfle encore. Je sens monter mon bonheur sous ce délicieux pilonnage. Mes soupirs d’aise se changent en plaintes ravies. Et ...