1. La vie de château (2)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Divers, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... attouchements, mes baisers, l’eau parfaite, elle jouissait et j’en profitais pour en faire une femme. Dans l’eau, très vite, une tache rougeâtre apparut avant de se diluer et de disparaître dans l’eau. Pendant un long moment, nous sommes restés sans bouger.
    
    — Tu as été parfait, j’ai à peine senti une très légère brulure. Merci, t’es bien plus qu’un amour.
    
    — Je t’aime depuis si longtemps, ma douce, que je crois bien t’avoir toujours aimé.
    
    — Je le sais, mais j’avais peur de toi, de tes brusqueries.
    
    — Jamais je n’aurais pu être brutal avec toi, jamais.
    
    On s’est aimé longuement, même si mon cruel manque d’expérience me fit jouir sur ses seins bien trop vite. Je la pris encore, tentant de me retenir plus longtemps, jouant avec la vitesse, la lenteur ou même quelques pauses. Ce fut encore peine perdue, l’étroitesse de son vagin y était pour beaucoup, autant que mon inexpérience des choses de l’amour. Cependant, si je ne parvenais pas encore à retenir mes éjaculations, il me restait ma bouche, mes mains. De ma bouche, je la lavais bien plus qu’intimement. Elle jouit, jouit et jouissait encore. Épuisée, comme je l’étais, je nous séchais. En voulant remettre nos vêtements, nous ne trouvions que deux peignoirs en lieu et place de nos fringues. Dans nos peignoirs, pieds nus sur le carrelage froid, on cherchait Madame ou Lyse. De petits cris attirèrent notre attention. Cela provenait de la cave.
    
    Lentement, nous descendions l’escalier. Agnès m’apprit que c’était la ...
    ... voix de Lyse que nous entendions. Plus nous approchions de cette lueur au fond de ce couloir sombre, plus les cris devenaient forts, mais sans hurler pour autant. En jetant un œil par l’entrebâillement de la porte, je vis Lyse, la poitrine posée sur une table, les pieds attachés aux pieds de celle-ci. Sur sa croupe que je découvrais, Madame plantait quelques aiguilles en chantonnant une sorte de balade ou, oui, peut-être, une sorte de berceuse. « Non, non, c’était tout sauf une berceuse, me dit Agnès, c’est une complainte partisane que chantaient les femmes pendant que leurs maris partaient à la guerre. » Je restais stupéfait en regardant cette femme à la réputation sans tache, punir sa servante. Puis, relevant sa longue robe, sans culotte, elle posa sa vulve devant la bouche de Lyse en s’asseyant devant son visage, les jambes écartées. Lyse ne se fit pas prier, à la voir.
    
    C’est alors qu’Agnès me poussa à l’intérieur, me suivit en refermant la porte derrière elle, à double tour. Elle donnait même la clef à Madame. Je venais de passer d’invité à prisonnier. J’ai soudain eu peur de subir mille maux dans cette cave un peu aménagée. En quelques secondes, je revisitais mes cours d’histoire pour m’arrêter sur la période de l’inquisition et là, j’ai réellement eu très peur. Madame me fit signe de m’approcher d’elle. Agnès était déjà à ses pieds, à genoux, elle retirait son peignoir, baisant et léchant les jambes de sa Maîtresse en les caressant délicatement de ses mains. Près de ...