1. La vie de château (2)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Divers, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... En bas de la descente, je m’arrêtais, Agnès près de moi sur son vélo. À l’intérieur du sachet, il y avait la culotte de ma douce amie. Nous étions non loin du banc, là, je m’arrêtai, prisle bras de ma douce tendrement pour l’assoir sur ce banc en lui demandant de ne s’assoir que sur ses fesses nues. Elle rougit encore, voulant même protester. Je lui montrais le contenu du cornet de papier, elle rougit encore plus. Je me suis mis à genoux devant elle, je soulevais ses petits pieds l’un après l’autre pour lui enfiler sa culotte.
    
    Cependant, vu ce que j’avais en face de moi, ma bouche se montra soudainement avide de connaissance. Ma langue plongea entre ces belles cuisses. Je me délectais vite de ce bonheur qui coulait dans ma bouche. Agnès appuya de ses mains sur ma tête, fermant ses beaux yeux de biche quand une main puissante se posa sur mon épaule. Il y eut un grand cri strident, je me retournais, c’était Madame avec un regard qu’elle voulait faire croire dur. Agnès était paniquée, paralysée par la peur. Je me suis relevé, Madame m’embrassa avec tendresse.
    
    — Tu apprends vite, mon jeune ami. Ton amie sera heureuse avec toi. Ma douce Agnès, il me serait agréable de vous avoir à ma table, demain vers onze heures. Avec toi, mon jeune ami ! Je crois qu’il est temps qu’il apprenne, tu ne trouves pas, ma douce amie ?
    
    — Oui, Madame, j’étais au bord de l’extase.
    
    — Tu m’en vois sincèrement désolée, ma chérie, je ne voulais pas interrompre ton moment de bonheur.
    
    Et elle ...
    ... était sincère en plus. Sa main glissa entre les cuisses de mon Agnès qui se laissa faire. Je rejoignis vite cette main, la remplaçant par ma bouche. Je crois qu’Agnès eut encore honte de jouir de ma bouche et devant Madame. Pour ma part, je venais de faire jouir une personne de la gent féminine pour la toute première fois. Je finis d’enfiler la culotte de ma douce en baisant sa chair que j’habillais. Cette fois, sans aucune gêne, je l’embrassais aussi tendrement que possible. Près de la route, nous avons rejoint Lyse qui attendait près de la limousine de la Comtesse. Je m’approchais d’elle, lui pris la taille et l’embrassais aussi tendrement que mon aimée. Pour Agnès et moi, il se produisit un événement que nous n’aurions jamais imaginé. Du téléphone de sa voiture, objet très rare à l’époque, Madame appela nos parents respectifs pour leur dire que nous étions ses invités pour le week-end.
    
    Et nous sommes remontés chez Madame. À peine dans la maison, que Madame nous poussa dans une vaste salle de bain afin que nous y prenions un bain déjà en train de couler. Ma douce se fit timide, je pris sur moi de la dévêtir, nous étions seuls. Plus je découvris son corps, plus je l’embrassai, le caressai. Collant mon visage sur ses petits seins, je les tétais avec ce désir de la faire jouir encore. Cette première fois avec Agnès devait être sa plus merveilleuse fois. Dans le bain chaud, je pris son corps contre moi, me guidant en elle pendant qu’elle se mordillait sa lèvre inférieure. Mes ...