1. Homme marié se demandant si son épouse le trompe


    Datte: 20/03/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, noculotte, Oral nopéné, Humour Auteur: Philippe, Source: Revebebe

    ... le coup je me dégageai un peu brusquement de ses adorables mains, me reculai et la regardai très surpris.
    
    — Ah, bon ? Et comment cela ?
    
    Annie, surprise, me sembla-t-il, resta un instant les mains suspendues dans le vide à hauteur de mon cou, se les frotta, les agita un peu, comme cherchant ses mots.
    
    — Eh bien, ce n’est le genre des employées de se faire accompagner de leur mari, apparemment. Même s’ils sont invités, ce n’est que pour la forme, par politesse, m’a-t-elle dit.
    — Ah…
    — Oui, je t’assure, c’est ce qu’elle vient de me dire. Je n’ai pas suffisamment d’ancienneté dans cette boîte, tu le sais, mais d’après elle, si tu viens, en réalité tu serais le seul conjoint…
    — À ce point-là, oh bah dis donc !
    — Bah, écoute, j’invente rien, tu sais. C’est embêtant, ça. Elle aurait pu me le dire avant quand même ; qu’est-ce qu’on fait, tu viens quand même ? dit-elle en me regardant d’une façon qui comme à chaque fois me fit fondre.
    — Je sais plus moi, si je suis tout seul… bah dis donc, et ton patron, là, avec ses regards libidineux ?
    
    Annie, à ce moment-là, se rapprocha et vint se blottir douillettement sur ma poitrine en m’entourant le cou de ses bras :
    
    — Ah, tiens ! Le jaloux se réveille, on dirait. Tard, mais il se réveille, dit-elle alors que je sentais son souffle sur mon cou, ses cheveux me chatouillant le nez.
    — Écoute, après ce que tu m’as dit, c’est un peu normal, tu ne crois pas ? dis-je en caressant sa tête avant d’entourer amoureusement ses ...
    ... épaules lisses comme pierre polie au torrent.
    
    Annie se serra un peu plus si cela était possible contre moi. Je sentais les masses de ses seins sur mon torse. J’aurais souhaité qu’elle m’en transperce, tant j’aimais les sentir. Elle me surprit tout à coup par un geste qui lui ressemblait fort peu. Elle dégagea un bras de mon cou, baissa la main en me caressant doucement, savamment, tout le long et jusqu’à la poche de mon slip qui tenait serré mon sexe et mes couilles. Je pouvais sentir la chaleur moelleuse de sa main… Elle ne s’attarda pas plus que cela mais préféra aller à l’aine trouver le bord du sous-vêtement, prit tout le temps d’immiscer ses quatre doigts à l’intérieur et d’un coup, sans hésiter, tira nettement et suffisamment pour que soit dégagé et soudain au grand air tout mon paquet…
    
    Intérieurement, je me figeai, bien que pour sauver la face je continuais, en ayant peut-être arrêté une demi-seconde à peine, à caresser son dos, sa taille.
    
    Nous ne disions plus rien, sa main après son « forfait » quitta l’endroit et vint appuyer sur mes fesses. Décidément, surprises ! Elle ne me caressait pas les fesses non plus, enfin pas plus souvent que cela. J’étais aux anges.
    
    — Fais comme tu veux, me dit-elle.
    
    De quoi parlait-elle ? De la soirée, devais-je y aller ? De la suite à donner à nos caresses ? Je me troublais, mais ma queue se tendait, elle qui sentait la chaleur de ses cuisses frémissantes, vivantes, au travers du délicat et soyeux tissu de sa robe…
    
    Nous ...
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