Aurélie 9
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... d’élongation.
Très bonne idée ! Vous vendez ce type de matériel ?
Sur commande, pour le deuxième. Le premier, nous l’avons en stock, de différents modèles. Nous avons aussi de nombreux modèles de piercing. Ce soir, je vais me contenter de place des tiges provisoires. Ensuite, ce sera à vous de voir. Bien, passons à la chatte. Quel est votre but, en ma faisant anneler ?
Pouvoir interdire tout pénétration ou toute caresse sur le clitoris sans mon autorisation !
Alors, je vous propose des œillets.
Des œillets ?
Oui. Quatre ou cinq, répartis sur les grandes lèvres, en acier chirurgical, donc, sans risque. Ils sont teints couleur chair et restent très discrets.
Ensuite, vous pouvez y insérer tout ce que vous voulez, anneaux, barrettes, tiges.
Va pour les œillets !
Et pour le diamètre intérieurs ? Cela va de un à trois millimètres.
Alors, ce sera trois. Y compris la barrette au-dessus du clitoris.
Bien. Allons-y. je vais anesthésier, car c’est douloureux, surtout pour les lèvres.
Pouvez-vous l’aveugler ?
Bien sûr, je vais lui mettre un bandeau.
Et voilà, en plus d’être immobilisée, je me retrouvai aveugle. Je n’en sentis que mieux ce qu’elle me faisait. Elle pulvérisa un produit glacé sur mon téton gauche, puis je sentis qu’elle l’étirait. Ensuite, je sentis qu’on le saisissait dans une pince en métal et je sentis une piqûre qui allait crescendo, sans doute au fur et à mesure de la pénétration de l’aiguille. Je ne ...
... pus m’empêcher de gémir et de me tendre. La douleur était atténuée, mais présente, et j’appréhendais la deuxième. Je sentis à peine le passage de la tige provisoire. La même opération se répéta, avec une douleur plus intense, bien que supportable. Peut-être était-ce l’appréhension ? A moins que ce soit l’anesthésie, qui ne faisait plus effet !
Lorsqu’elle s’attaqua à mes grandes lèvres, je me crispai, et elle dût me sangler la taille sur le lit, afin que je ne me fasse pas de mal. Dire que cette opération fut un calvaire est un euphémisme. Elle dût également me bâillonner pour ne pas que j’ameute tout la quartier. Lorsqu’elle eut terminé la pose des cinq œillets sur chaque lèvres, j’étais épuisée. Epuisée d’avoir souffert, épuisée d’avoir hurler dans mon bâillon, épuisée d’avoir pleuré toute les larmes de mon corps. C’est dans un brouillard que j’entendis la femme donner des instructions pour les soins de mes piercings et que je la sentis me détacher. Je serais tombée si elle ne m’avait pas retenue, bientôt supplée par ma maîtresse.
Que se passa-t-il ensuite ? J’en serais bien incapable d’en décrire la chronologie. Sans doute, ma maîtresse, ayant payé, m’avait portée jusqu’à la voiture, puis jusqu’à ma couche. J’étais anéantie de douleur et je sombrai dans un sommeil agité. Lorsque je repris conscience, il faisait grand jour et la douleur, bien que toujours présente, s’était faite plus diffuse. Après quelques instants de conscience, je sombrai à nouveau dans le sommeil.