Aurélie 9
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... l’imaginais, nue, près de moi, entravée elle aussi.
Une nouvelle fois, je dégoulinais de la chatte, sans pouvoir me branler et me soulager. Mais combien cette excitation me plaisait. Où en était Véronique, avec elle ? Avait-elle commencé à la tester, à tester son désir de soumission ? Je l’ignorais, ma maîtresse n’ayant pas jugé utile de me tenir au courant. De plus, elle n’avait repris le travail que depuis hier et il semblait difficile d’arriver à soumettre une si prude jeune femme en si peu de temps. J’allais devoir patienter encore un peu, avant de savoir si Solène viendrait me rejoindre dans la soumission.
Lorsque j’eus faim, je me mis à genoux et me penchai vers ma gamelle. Ce fût difficile. Ne pas pouvoir s’appuyer sur ses mains était particulièrement périlleux, et je fus plusieurs fois à la limite de basculer, le nez dans la nourriture. Lorsque j’eus fini, j’avais mal au dos et j’eus quelques difficultés à me relever. Une fois de plus, je m’allongeai sur mon lit. Si cela continuait ainsi, j’allais devenir obèse ! Cette pensée me fit rire à travers mon bâillon.
Le reste de la journée se passa entre moment de sommeil et d’éveil, et je fus soulagée lorsque j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir, puis se refermer quelques instants plus tard, trop tardivement pour qu’une seule personne soit entrée. Y avait-il quelqu’un d’autre avec ma maîtresse ? Des pas se rapprochèrent, des talons de femme, à n’en pas douter. Qui cela pouvait bien être ? Quelle ne fut pas ma ...
... surprise lorsque je vis Solène entrer à la suite de ma maîtresse. Si je l’avais pu, j’en serais restée bouche bée. Je fixais la jeune femme, les yeux écarquillés. Ainsi, elle était là.
Solène est venue voir ta déchéance, Cybèle ! N’est-ce pas ?
Oui, madame ! répondit la jolie rousse, intimidée.
Tu vois, je ne t’avais pas menti. Elle aime cela, elle en redemande, même. N’est-ce pas, salope ?
Dans l’incapacité de répondre, je hochai la tête, ne cessant de dévorer des yeux cette ravissante apparition, ce qui ne passa inaperçu aux yeux de ma maîtresse, car elle lança d’une voix sifflante :
Baisse les yeux, ou je te fouette !
J’obéis immédiatement, regardant les deux femmes par en-dessous. Je vis ainsi Véronique s’approcher de Solène, se coller à elle et lui caresser les fesses. La jeune rousse n’esquissa aucun geste de recul, au contraire. Ma maîtresse se pencha à son oreille et lui susurra :
Tu aimerais être à sa place, Solène ?
La jeune femme ne répondit pas et frémit. A aucun moment, elle ne tenta de se dérober à la main de Véronique qui, descendue à l’ourlet de la robe, commençait à remonter le long de la cuisse, par derrière. Je voyais le vêtement se retrousser, au fur et à mesure de la progression de la main de ma maîtresse. A un moment donné, Véronique cessa de monter et murmura :
Tu portes des bas, petite salope ?
Ou… Oui, madame, mais je… je ne suis pas une salope !
Ah bon, comment nommes-tu une femme qui vient se repaître de ...