1. Aurélie 9


    Datte: 19/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... la vision d’une esclave nue et harnachée ?
    
     … / … !
    
     Alors ? reprit ma maîtresse, griffant la cuisse de Solène.
    
     Une… une salo… une salope, madame ?
    
     Exact ! Mais tu n’as pas répondu à ma question !
    
     La… laquelle, madame ?
    
     Aimerais-tu être à sa place ?
    
     Je… je ne crois pas !
    
     Alors, avec elle ?
    
     Je… je ne sais pas, madame.
    
     Tiens donc, tu ne dis pas non ! Pourquoi ?
    
     Je…
    
    Elle ne continua pas sa phrase, baissant la tête. Je la vis se lécher les lèvres à plusieurs reprises. La situation l’excitait, cela se voyait. La main de Véronique reprit son chemin et bientôt, effleura la culotte de Solène. Du moins, c’est ce que j’imaginai, lorsque ma maîtresse lui dit doucement :
    
     Ecarte les cuisses !
    
     Mais… fit la rousse, tout en obéissant docilement.
    
     Tu es toute trempée, salope. Qu’est-ce qui t’excites autant ?
    
     Tout, madame !
    
     Tout quoi ?
    
     Euh ! votre main, la situation d’Aurélie, madame !
    
     Tu aimerais partager sa soumission ?
    
     Oui… oh oui, madame !
    
     Tu es sûre de toi ?
    
     Oui madame !
    
     Tu sais ce qui va lui arriver, ce soir ?
    
     Oui madame !
    
     Dis-le !
    
     Elle… elle va être annelée !
    
     Tu sais que si tu deviens soumise, tu ne t’appartiendras plus ?
    
     Oui madame !
    
     Bon ! Ce soir, je n’ai pas le temps de m’occuper de toi. Rentre chez toi et réfléchis. Vendredi, tu me donneras ta réponse. Si tu acceptes de devenir ma soumise, nous aurons le weekend pour te tester. Ensuite, tu ...
    ... me donneras une réponse définitive. D’accord ?
    
     Oui madame !
    
     Va-t’en maintenant, que je prépare Cybèle.
    
    Véronique se pencha vers elle, l’embrassa doucement sur les lèvres. Ensuite, elle la prit par la main et quitta la pièce. Quelques instants plus tard, j’entendis la porte se refermer. Solène était partie. Mais ce départ était plein de promesse. Je n’allais plus être seule dans la soumission.
    
    Ma maîtresse revint dans la pièce et me détacha, afin que je prenne une douche. Lorsque je fus prête, elle me fit passer des escarpins à hauts talons et une cape s’arrêtant à mi-cuisse. Dessous, j’étais nue. Je n’avais gardé que mon collier. Elle me fit signe de la suivre et nous partîmes chez celui qui allait me percer. Je dois dire que je n’en menais pas large, et l’angoisse ne fit que monter, au fur et à mesure du trajet. Ma maîtresse semblait s’amuser de mon angoisse et me jetait des regards railleurs.
    
    Nous nous garâmes dans une petite rue sombre et elle me fit descendre.
    
     Ce n’est plus très loin, me dit-elle, en déboutonnant ma cape jusqu’à l’avant dernier bouton, mets les mains dans le dos et marche derrière moi. Interdiction de tenir la cape, compris ?
    
     Oui maîtresse.
    
    Je la suivis dans un dédale de ruelles. Elle marchait d’un bon pas, et, pour la suivre, je devais faire de grandes enjambées qui faisaient ouvrir la cape et dévoiler ma nudité. Plusieurs hommes restèrent interloqués à la vue de mes appâts.
    
    Enfin, après cinq minutes de marche, nous ...
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