Aurélie 9
Datte: 19/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
réveil me tira d’un sommeil sans rêve, du moins, c’est ce qu’il me sembla. Je me sentais courbaturée. Pas étonnant, avec la sarabande d’hier. Tant bien que mal, je me levai et allai directement à la cuisine. Préparer un petit déjeuner, avec les mains liées au niveau des épaules, avec tout juste vingt centimètres de débattement, ne fut pas une sinécure. Toutefois, il n’était pas question de pouvoir servir le plateau, ainsi harnachée. Lors de l’appel de ma maîtresse, je me rendis dans la chambre afin qu’elle me délivre. Je me mis à genoux devant elle et lui demandai humblement
Bonjour, maîtresse ! Pouvez-vous me libérer, afin que je puisse vous servir votre petit déjeuner ?
Bonjour Cybèle. As-tu bien dormi ?
Oui, maîtresse ! Mais je suis toute courbatue.
Approche, je vais te libérer.
Lorsque Véronique me libéra, je retournai à la cuisine et revins avec le plateau du petit déjeuner, que je posai sur le lit. Agenouillée au pied du lit, je regardai ma maîtresse déguster les mets que j’avais apportés. J’attendais ses instructions, afin de préparer ses vêtements pour partir au travail. Elle ne semblait pas s’en soucier et n’ouvrit pas la bouche avant d’avoir terminé son petit déjeuner. Elle sortit du lit de l’autre côté, mais j’eus tout de même la merveilleuse vision de ses fesses sublimes, de son dos cambré, un peu marqués par les plis des draps. Sa nuisette formait un écran transparent et au combien érotique, à ce corps voluptueux. Elle se dirigea vers la ...
... salle de bains et, avant d’y entrer, se retourna et me jeta dédaigneusement :
Tu peux débarrasser, Cybèle !
Bien maîtresse !
Et elle s’engouffra dans la pièce. Je me relevai, retirai le plateau, aérai le lit et quittai la chambre, le plateau dans les mains.
Je me mis à penser à ce qui allait se passer, cet après-midi. J’allais être annelée. J’appréhendais cette opération, et, en même temps, je la désirais très fort. Ainsi, mon appartenance à Véronique en serait renforcée. Elle m’avait déjà prévenue de ce qu’elle comptait me faire poser. Mais je n’avais aucune véritable idée de ce que cela représentait.
Sa toilette terminée, elle vint me trouver, dans la cuisine. Elle me passa une ceinture, bouclée par derrière, avec des bracelets pour les poignets sur le côté. Elle emprisonna mes mains dans les bracelets. Ainsi, je n’avais aucune mobilité de mas bras, sinon, sur quelques centimètres, autour de ma taille. Ensuite, elle attacha mes chevilles avec des bracelets, reliés à une chaîne d’une vingtaine de centimètres. Elle me fit assoir sur le lit et passa mon collier à une autre chaîne, qu’elle relia aux barreaux de la tête de lit. Une nouvelle fois, un dispositif de secours était inclus dans la fermeture. Mais je savais que toute utilisation intempestive me vaudrait une sévère punition. La chaîne était juste assez grande pour me permettre d’aller faire mes besoins. Cela fait, elle me fit ouvrir la bouche et y introduisit un bâillon-boule, qu’elle fixa derrière ma ...