Marie-Hélène
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
hdanus,
uro,
scato,
Auteur: wanderer, Source: Revebebe
... corps se cambrait, comme pour mieux venir à la rencontre de mes caresses.
Mais jamais je n’honorais Marie-Hélène avant d’avoir rendu hommage à l’autre de ses trésors cachés. Toujours, à ce stade de nos caresses, ma main, s’insinuant sous elle, lui donnait le signal de prendre la position qui m’y donnerait accès…
J’aime ce moment où, écartant les fesses de mon amie, je découvre son adorable petit trou. J’ai toujours aimé le regarder, le caresser de ma langue, y glisser un doigt et le laisser longuement en elle. Ces caresses ne m’ont jamais semblées « sales » ni choquantes, j’aime les lui donner et elle aime les recevoir.
Marie-Hélène était maintenant sur le ventre, m’offrant son dos magnifique et sa croupe fière, dont j’ai d’abord caressé les courbes de mon regard. Avais-je un peu tardé à la gratifier de la caresse attendue ? La voix de mon amie, un peu moqueuse s’est élevée :
— Alors tu hésites ?
Un peu interloqué, je n’ai su que répondre, et Marie-Hélène d’enchaîner sur le même ton :
— Ça te dégoûte parce que j’ai fait caca ?
Non, ma chérie, ça ne me dégoûtait pas, comment avais-tu pu croire cela ? Mes mains se sont posées sur ses fesses, les écartant largement, et j’ai contemplé, pour la première fois sous la lumière éclatante du soleil, la merveille rose et brune de son anus. Longuement, tendrement, je l’ai léché, avec plus d’insistance encore que d’habitude, et lorsque de nouveau nous nous sommes retrouvés face à face, nos bouches se sont jointes ...
... sans que j’aie éprouvé seulement l’envie d’essuyer la mienne d’un revers de main, tant il me semblait que toutes les parties de son corps n’étaient qu’une…
Lorsque je l’ai pénétrée, mon pénis était si dur et mon désir si fort qu’abandonnant les ménagements habituels, je l’ai saillie d’un rythme presque brutal et elle, haletante et agrippant mes fesses entre lesquelles ses doigts s’insinuaient, semblait vouloir m’aider à rentrer plus profondément en elle. Plus mon rythme s’accentuait et plus ses doigts pénétraient entre mes fesses, venant au contact de mon anus, en des attouchements de plus en plus directs et insistants. Jamais jusqu’alors je ne l’avais laissée franchir ce seuil, retenu par d’absurdes raisons (de telles caresses sont bonnes pour les homos, par pour les hétéros…) et par l’invocation d’une dignité… assez curieusement placée, mais la violence de mon désir a tout à coup fait lever mes freins, j’ai écarté un peu les fesses pour lui faire comprendre ce dont j’avais maintenant envie, et comme si elle n’avait attendu que ce signal, un de ses doigts s’est introduit en moi pour commencer un voluptueux massage…
Cette caresse, encore inédite pour moi, m’a amené à une intensité de plaisir jamais connue jusqu’alors, et lorsque mon sperme a jailli dans son ventre, c’est la main de Marie-Hélène qui en avait libéré le flot…
Longtemps, nous sommes restés allongés côte à côte et, revenant peu à peu à moi, je m’émerveillais en pensant que cette fille avec qui je venais ...