1. Marie-Hélène


    Datte: 18/03/2019, Catégories: fh, couple, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, hdanus, uro, scato, Auteur: wanderer, Source: Revebebe

    J’ai fait la connaissance de Marie-Hélène il y a deux ans, lors de mon installation à X…, ville où l’opportunité d’occuper enfin un poste correspondant à ma formation m’avait convaincu de m’expatrier.
    
    Venant de la région parisienne, j’étais un peu stressé par cette transplantation, que j’avais néanmoins acceptée, car outre qu’elle me mettait le pied à l’étrier professionnellement, elle me permettait de profiter de la montagne toute proche, et de satisfaire ma passion pour la randonnée. C’est donc tout naturellement que, cherchant à me faire des relations, j’ai été amené à m’inscrire à un club de randonneurs.
    
    Tout de suite j’y ai été attiré par Marie-Hélène, jolie fille aux cheveux châtains et aux yeux bleu clair – association peu courante et pour laquelle j’ai une prédilection particulière – entrée elle aussi au club pour sortir de son isolement.
    
    Beaucoup de choses nous rapprochaient : âgée de 26 ans et originaire comme moi d’une autre région, elle était arrivée dans cette ville pour y enseigner, à la faculté locale, la biologie des écosystèmes (discipline dont j’ai appris l’existence à cette occasion !). Elle aussi aimait la montagne et la randonnée, les arts, la musique, jouant elle-même fort bien du violon (elle avait pensé un moment en faire son métier), ce qui me rendait un peu jaloux car je n’ai jamais réussi à jouer convenablement d’un instrument…
    
    Mais j’en oublie de la décrire : ses jambes d’abord, c’est la moindre des choses puisque nous nous sommes ...
    ... connus en marchant : de belles jambes, bien musclées mais sans lourdeur ni ces reliefs trop marqués qu’on voit souvent aux filles qui font de l’athlétisme (qu’elle avait un peu pratiqué), ses hanches ensuite : peu évasées, mais d’une féminité attestée par de jolies fesses rondes : un derrière de fille comme je les aime, et que je ne me lassais pas d’admirer lorsqu’elle marchait devant moi, et enfin ses petits seins : plantés haut, ronds et fermes, et se passant aisément de soutien-gorge…
    
    Comme nous étions à ce moment là tous les deux sans attaches sentimentales, nous sommes devenus très vite plus qu’amis, Marie-Hélène se révélant la plus tendre et la plus caressante des maîtresses.
    
    Le motif qui nous avait amenés tous les deux au club n’existant plus, nous avons pris quelques distances avec lui, et décidé, pour nos vacances d’été suivantes, de satisfaire notre passion commune à deux, et non plus au sein d’un groupe où il faut toujours attendre ceux qui ont du mal à suivre, supporter l’enquiquineur (euse) de service, ou encore les incompatibilités d’humeur d’untel et d’untel, etc.
    
    Notre choix s’est fixé sur un village des Hautes-Alpes qui nous offrait des possibilités de parcours presque illimitées, et où nous avons loué un petit appartement dans un chalet.
    
    Le matin de notre première promenade, alors que nous avions déjà atteint une bonne altitude, Marie-Hélène a dû s’écarter du sentier pour satisfaire un besoin naturel.
    
    C’était la première fois que j’avais l’occasion ...
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