1. Marie-Hélène


    Datte: 18/03/2019, Catégories: fh, couple, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, hdanus, uro, scato, Auteur: wanderer, Source: Revebebe

    ... de la voire faire pipi, car, comme vous vous pouvez l’imaginer, dans nos randonnées en groupe, lors de ce genre de halte, les messieurs partaient d’un côté et les dames de l’autre.
    
    Mû par une soudaine envie de la voir faire, je me suis rapproché de l’endroit qu’elle avait choisi, un peu à l’écart de notre chemin derrière un bouquet de conifères nains, et, me pensant à l’abri de ses regards, je l’ai regardée baisser son petit short sur ses cuisses et s’accroupir au milieu des pensées, gentianes et autres fleurettes. Je la voyais un peu de l’arrière, et, cette position écartant ses fesses, son cul blanc en paraissait plus large et encore plus beau dans la lumière matinale. Je ne puis dire le trouble qui m’a alors saisi, et lorsque le jet a jailli sous elle, le sang a afflué dans ma verge, soudain à l’étroit dans mon slip…
    
    Bien que je me sois un peu écarté avant qu’elle se relève, Marie-Hélène avait du déceler ma présence, car, me rejoignant, elle m’a dit avec un sourire mutin :
    
    — Alors comme ça on est voyeur ?
    
    Puis, remarquant le… relief qui déformait mon short et l’ayant palpé au passage :
    
    — Mais, il bande ma parole !
    
    ---oooOooo---
    
    Le lendemain fût un jour de repos, comme souvent après la première sortie d’altitude, mais le surlendemain nous étions repartis sur les sentiers, et de nouveau une halte nous a replacés dans la situation de l’avant-veille… Prenant cette-fois-ci les devants, Marie-Hélène m’a proposé d’un air malicieux :
    
    — Tu peux regarder ...
    ... puisque tu aimes çà, mais sans te cacher cette fois-ci !
    
    Et moi du tac au tac :
    
    — Mais volontiers, fréquenter une biologiste m’a donné le goût de l’observation des phénomènes naturels !
    
    L’instant d’après, me faisant face, elle a baissé short et slip sur ses cuisses, dévoilant le petit triangle châtain de son pubis, mais, au lieu de les arrêter à hauteur de ses genoux, comme toute femme le fait dans une telle situation, elle a complètement dégagé une de ses jambes, et s’est accroupie, les pieds bien écartés, dans une pose qui ne cachait rien de sa vulve entrebâillée…
    
    — Comme ça tu verras mieux !
    
    Elle avait dit cela avec son plus joli sourire, le même qu’elle m’adressait en prélude à nos ébats amoureux, lorsque, allongée sur le dos dans l’attente de mon désir, elle entrouvrait ses cuisses pour offrir sa chair intime à mes yeux et à mes caresses…
    
    Mais dans la situation où nous nous trouvions, sa pose, qu’elle avait rendue délibérément provocante, avait quelque chose de bien plus impudique : cette jolie fille, accroupie dans ses chaussures de marche, sur ses belles jambes fléchies, le cul à l’air et la chatte entrouverte, offrait le plus excitant des spectacles et, lorsque le jet doré a jailli de sa chair rose, mon excitation était telle que ma sève a été à deux doigts de déborder…
    
    Après s’être relevée et reculottée, Marie-Hélène, s’amusant de l’état dans lequel elle m’avait mis, a lâché :
    
    — Puisque ça te plaît autant, la prochaine fois je ferai caca ...
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