1. Marie-Hélène


    Datte: 18/03/2019, Catégories: fh, couple, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, hdanus, uro, scato, Auteur: wanderer, Source: Revebebe

    ... Dis-donc, ta bite a l’air d’apprécier le paysage !
    
    L’emploi de ce terme surprendra peut-être venant d’une jeune femme qui, bien que d’esprit et d’idées très libres, avait gardé de ses origines familiales un style plutôt BCBG et un langage châtié, mais il avait pour moi une autre signification : lors de nos ébats amoureux, Marie-Hélène aimait employer des mots un peu crus, parlant de sa « chatte », de ma « bite » ou de ma « queue », me demandant de la « bourrer » ou de la « doigter », car elle m’avait avoué un jour qu’en réaction à son éducation un peu stricte cela l’excitait de parler ainsi lorsque nous faisions l’amour (et moi donc de l’entendre !!!).
    
    L’emploi de ce petit « gros mot » annonçait donc de bonnes dispositions chez ma maîtresse, et me donnait le prétexte de lui répondre par un appel au peuple :
    
    — Il n’y a pas que cela qu’elle apprécie…
    
    M’ayant adressé un regard complice, Marie-Hélène s’est alors penchée sur moi et ses lèvres douces sont venues effleurer la hampe enflammée de mon désir…
    
    Jamais jusqu’alors nous n’avions fait l’amour dans la nature, cette retenue résultant sans doute de notre longue habitude des randonnées en groupe, où cela n’était pas possible, mais cette journée magnifique avait changé l’ordre habituel des choses : je me suis allongé complètement sur l’herbe, les yeux mi-clos, et me suis abandonné aux caresses expertes de Marie-Hélène. J’ai senti sa langue descendre sur le fût brûlant de mon pénis, puis parvenir jusqu’à mes ...
    ... bourses, dont elle pinçait la peau entre ses lèvres… L’une après l’autre elle a pris mes couilles dans sa bouche, leur imprimant un tendre massage comme si elle avait sucé un volumineux bonbon… De nouveau les lèvres fraîches de mon amie ont erré sur le phallus gonflé de sang et de soleil (il me plaît de penser qu’une érection est aussi l’œuvre du soleil), en des effleurements incroyablement torrides alternant avec de minuscules baisers, puis remontant jusqu’au prépuce elles l’ont abaissé d’un mouvement à la fois tendre et un peu brusque, cependant que sa langue, prenant le relais, venait explorer le sillon du gland, et irriter de l’acidité de sa salive le méat délicat…
    
    Des caresses aussi brûlantes m’auraient très vite fait éjaculer, si mon amie n’avait su, avec une infaillible science, y ménager des pauses. Mais elles devaient pourtant avoir leur conclusion : je savais, par habitude, que lorsque la main de Marie-Hélène empaumait mes bourses et que ses doigts, explorant mon périnée, venaient effleurer mon anus, l’assaut final allait suivre : brusquement ses lèvres ont avalé la totalité de mon gland, le massant d’une caresse encore plus intense, enveloppante, maternelle (mais oui !) et très vite l’orgasme libérateur est venu répandre le flot de ma semence dans sa bouche…
    
    Au fait, me direz-vous, et si quelqu’un était passé par là ? Le risque en était à vrai dire fort mince, car outre que nous étions presque seuls dans la montagne, la position que nous occupions, à l’abri d’un ...
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