Marie-Hélène
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Oral
pénétratio,
hdanus,
uro,
scato,
Auteur: wanderer, Source: Revebebe
... choquant à en avoir été le spectateur avait maintenant disparu chez moi, aussi, lorsque nous avons rejoint le sentier pour continuer notre promenade, j’ai pris tendrement Marie-Hélène par l’épaule et lui ai dit sur un ton sincèrement ému :
— Tu étais belle tu sais, tu étais belle en faisant cela, je t’aime.
Et, soulevé par une soudaine vague de tendresse amoureuse, je l’ai embrassée passionnément.
Plus tard, sur le chemin, regardant Marie-Hélène qui me précédait, je devinais ses fesses nues jouant sous son short presque transparent : je l’avais convaincue de porter comme moi des slips de sport, fort agréables pour s’aérer le postérieur lors des longues marches au soleil et plus confortables que les strings. Comme il est difficile d’en trouver pour les femmes, je lui avais donné un des miens, et lorsqu’elle le mettait le matin, se promenant les fesses à l’air dans notre chambre, je m’amusais du modeste relief de la coque, que pour des raisons évidentes elle ne pouvait remplir ! Je lui disais qu’elle avait l’air d’un gracieux hermaphrodite, ce qui provoquait immédiatement un commentaire moqueur sur ce qu’elle appelait mes « tendances homosexuelles latentes » !
Songeant à ce dont j’avais été le témoin tout à l’heure, il me paraissait que cela était en harmonie avec tout ce qui nous entourait, et que l’acte que j’avais vu mon amie accomplir avec une si parfaite simplicité et sans gêne apparente l’avait rendue un instant à la condition des animaux si beaux que nous ...
... croisions dans la montagne, et dont souvent les laissées parsemaient notre chemin. Je réalisais aussi combien Lawrence avait eu raison de se moquer du célèbre poème de Swift à sa maîtresse Celia :
— Celia shits…
L’après-midi nous vit longer des crêtes surplombant par endroits des pentes vertigineuses et lorsque amorçant notre descente nous atteignîmes l’étage de l’alpage, une avancée rocheuse surplombant la vallée et tapissée d’une herbe rase nous accueillit pour la plus bienvenue des haltes. Là, nous nous sommes débarrassés de nos sacs, chaussures et chaussettes, et je me suis mis torse nu, aussitôt imité par Marie-Hélène, offrant ses jolis seins à la caresse rafraîchissante du vent.
Mais la sensation d’être seuls dans cette nature magnifique et déserte (en cette fin du mois de juin les promeneurs étaient encore très rares, à plus forte raison à cette altitude), sous un soleil que ne filtrait aucun nuage, nous invitait à une liberté corporelle encore plus grande, et, sans même nous être concertés, nous avons ôté ce qui restait sur nous et nous sommes retrouvés entièrement nus sur l’herbe, face au soleil et à la montagne.
Presqu’aussitôt l’extraordinaire impression de bien-être et de liberté que je ressentais m’a donné une érection, et je me suis retrouvé le pénis dressé, comme un hommage au soleil. Je bandais d’être nu sous le soleil, dans ce paysage superbe, auprès de ma compagne, nue elle aussi.
La voix malicieuse de Marie-Hélène a interrompu mon extase :
— ...