1. Marie-Hélène


    Datte: 18/03/2019, Catégories: fh, couple, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, hdanus, uro, scato, Auteur: wanderer, Source: Revebebe

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    Nos vacances avançant, mon amie, dorée par le soleil de nos promenades, devenait chaque jour plus belle et le soir, dans notre petite chambre, contemplant son corps magnifique, je comparais la différence de teinte entre les parties qu’elle avait exposées au soleil et celles qu’elle devait lui dérober.
    
    Étant désormais parfaitement « affûtés » nous avons décidé de faire une grande promenade, depuis longtemps projetée, qui devait nous mener très haut et nous faire longer des crêtes au-dessus de 3000 mètres. La longueur du trajet (soigneusement étudié sur la carte au 1/25000ème !), nous obligeait à partir tôt le matin, ce qui nous permettait en outre de franchir l’important « dénivelé » de départ à la fraîche.
    
    Conséquence de ce départ matinal, Marie-Hélène a dû à un moment s’arrêter pour satisfaire un besoin plus important que ceux qui ponctuaient habituellement nos promenades : cette sportive s’exonérait chaque matin, et n’avait pu le faire avant notre départ. Me souvenant de ce qu’elle m’avait dit quelques jours auparavant en plaisantant, j’ai eu soudain envie de voir mon amie faire ce qu’elle avait à faire, tout en étant conscient que cela était infiniment plus indiscret que ce que je m’étais permis jusqu’alors.
    
    D’une voix assez mal assurée, et que je m’efforçais de rendre désinvolte, je suis parvenu à articuler :
    
    — Tu te souviens de ce que tu as dis l’autre jour ?
    
    Elle a semblé d’abord un peu étonnée puis, réalisant soudain ce à quoi je ...
    ... faisais allusion :
    
    — Tu veux me regarder chier ?
    
    La crudité du terme m’a surpris de sa part, mais j’ai compris qu’elle traduisait le trouble que lui avait causé ma question et, lorsque j’ai osé lui répondre que c’était bien là ce que je voulais, elle a ajouté :
    
    — Si ça t’amuse, tu peux regarder.
    
    Cela dit sur un ton neutre qui, s’il semblait considérer mon envie comme bizarre, ne lui opposait pourtant pas un refus, et exprimait peut-être même l’envie secrète de la satisfaire.
    
    L’instant d’après, elle était accroupie, nue jusqu’au-dessus du nombril (elle portait ce jour-là pour le haut une brassière courte de couleur vert amande), et, dans cette position, elle a levé ses yeux clairs vers moi et m’a souri, d’un sourire qui semblait absoudre mon voyeurisme. J’étais littéralement pétrifié. Elle a d’abord uriné en un jet bref puis son visage a pris une expression plus grave, où j’ai perçu une légère crispation, et sa selle brune est apparue entre ses fesses et tombée sous elle, suivie d’une autre quelques instants après.
    
    S’étant ensuite essuyée avec un mouchoir de papier, elle s’est relevée et, appliquant strictement le code du bon randonneur, a fait disparaître sous la terre et les brindilles les traces de son passage.
    
    J’avais l’impression d’avoir assisté à un acte grave, naturel, nullement laid mais au contraire digne d’être regardé. L’érection qu’il m’avait donné me paraissait tout aussi naturelle et légitime, et tout sentiment de ce qu’il pouvait y avoir de ...
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