1. Sophie à l'hôpital (1)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... l’entrejambe pour que je me retrouve entièrement nue. Je me dis qu’heureusement je n’ai pas mes règles et que je suis parfaitement lisse, sans un poil. Mais je réalise que la situation est finalement plus grave que si j’avais eu des poils à la chatte. J’ai du mal à hiérarchiser les choses.
    
    Je me dis que ce sont des professionnels et qu’ils ont l’habitude et que ce qui importe le plus, c’est d’être prise en charge et soignée.
    
    Je ne sais pas ce que j’ai et je suis anxieuse de l’apprendre. Je ressens sur mon corps, ma figure et mes jambes la douceur de l’eau tiède. Les deux hommes sont équipés de gant de toilette et de savon liquide, ils me frottent délicatement, soulèvent mes jambes et me nettoient correctement. Je suis très surprise qu’ils se retrouvent tous les deux en face de moi, chacun avec une jambe qu’ils lèvent pour nettoyer mon sexe ainsi offert à leur vue. Je n’ai pourtant pas l’esprit au sexe, mais je ne peux m’empêcher de trouver la situation très érotique, en d’autres circonstances j’aurais apprécié leur mouvement sur ma fente et la douchette qui une fois entre mes jambes écartées avait pour fonction de rincer mon vagin. Le contact de l’eau m’excite et mon clitoris réagit, je le sens se gonfler. Est-ce que les deux hommes s’en aperçoivent?
    
    Mais ça ne les intéresse pas plus que ça, ce qui les intrigue, et j’en ai l’habitude, ce sont mes tétons: leur longueur est très importante, presque des tétines ce qui jure avec mes seins qui sont bien modestes, mais en ...
    ... rapport avec ma corpulence, 1,55 mètre pour 45 kilos.
    
    Ils ne se gênent pas pour me le faire savoir. Je veux hausser les épaules, mais je n’y arrive pas. Je suis encore plus inquiète quand je les vois me laver les bras et que je ne ressens rien.
    
    Une fois terminé le lavage, ils me sèchent avec des compresses avant de me passer sur tout le corps une solution antiseptique sur toute la surface de ma peau. Mon visage subit le même sort et je reçois un chapeau pour isoler mes cheveux blonds. Moi qui suis si fière de ma blondeur et de mes yeux bleu ciel.
    
    -« Voilà Mademoiselle, vous êtes prête pour les examens, je vous emmène à la radio ».
    
    Je me dis qu’il n’allait quand même pas me laisser à poil pour me balader dans les couloirs! Sous le choc impossible de mettre mes pensées en concordance avec la réalité. Le brancardier pousse le chariot et nous traversons un hall, des couloirs, encore des gens autour de moi, un arrêt, un médecin qui donne des ordres, après un bref examen fait de palpations de mes bras et de mon torse, il me pose des questions, je n’arrive pas à former les mots pour lui dire que je ne veux pas rester toute nue devant les gens. Je pense à ma fente ouverte visible par tout un chacun du fait de la position de mes jambes très écartées et mises en immobilisation forcée contre les bords du brancard.
    
    Je crois que je rougis de honte.
    
    Un départ, un autre arrêt prêt d’un comptoir, une secrétaire qui me pose des questions, me réclame des papiers, impatiente, ...
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