Sophie à l'hôpital (1)
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... regarde préparer les bandes de plâtre dont il a besoin pour mes bras. Là encore aidé par le brancardier il me manipule pour entourer mes bras. Le brancardier choisit de me maintenir par les seins pour me faire garder la position ‘’idoine’’ dit-il. Il ne se gêne pas pour reconnaître qu’il me tient par la poitrine, mais ce n’est pas désagréable tout compte fait. Le plâtrage dure un bon moment et je fatigue dans cette position. La fixation de la contention de ma jambe gauche est un véritable sport et permet à mes deux soignants un écartement maximum de mes jambes, ce qui occasionne l’ouverture de mon sexe. Ils ne se gênent pas pour détailler ma chatte, peut être pensent-ils que mon jeune âge les autorise à des privautés qu’ils ne prendraient pas avec une femme plus âgée. Je dois rougir une fois encore, bras écartés, jambes écartées, quelle position peut être plus dégradante quand on se retrouve entière nue? A nouveau des médicaments et de l’eau que j’ai du mal à avaler.
Le temps que le plâtre sèche, et je reparte avec mon brancardier vers le scanner. Un vieux bonhomme me prend en charge et toujours aidé par mon brancardier, ils me font entrer dans le tunnel. Je passe tout juste avec mes bras écartés et ma jambe en l’air. Casque sur les oreilles, j’entends quand même les deux hommes parler de mes tétons et de ma petite chatte fendue et de l’ourlet de mes lèvres intimes. Ils ne sont décidément pas gênés dans le monde médical. Les examens touchent à leur fin et j’en suis quitte ...
... pour un léger traumatisme, qui se résorbera dans les jours qui viennent, ce qui m’empêche de parler distinctement. Je me dis que ça aurait pu être bien pire.
Direction les étages par l’ascenseur, pour une chambre que j’espère individuelle. La chance est avec moi: il s’agit d’une chambre double mais je suis la seule occupante. Le brancardier m’installe, encore une fois ses gestes sont trop caressants pour être honnêtes, mais à quoi bon, il semble très impliqué et je ne veux pas me le mettre à dos. Je laisse faire et fais mine de ne rien remarquer. J’ai toujours du mal à coordonner ma pensée et ma parole.
-« Voilà, le médecin va venir vous voir pour le diagnostic final, l’aide-soignant viendra ensuite vous faire dîner, plus tard ma belle ».
Il doit penser que le fait de me balader à poil dans tout l’hôpital lui permet de telle familiarité. Ma belle, pourquoi pas ma cochonne ou ma chaudasse, pendant qu’il y est?
Je commence à m’assoupir quand le médecin fait irruption dans ma chambre accompagné de deux élèves sans même frapper à la porte.
-« Bonjour Mademoiselle Sophie, vous l’avez échappé belle, bras cassé, hanche luxée et léger traumatisme crânien, c’est au moins une semaine d’hôpital, plus 5 semaines de soins à domicile et un mois de rééducation ».
Il continue en s’adressant à ses élèves et décrit symptômes et anatomie comparée. Je suis toujours à poil écartelée sur mon lit, fixée dans mon intimité par deux hommes et une femme, qui me reluquent à loisir. Je ...