1. Les mains baladeuses 1 - PRÉPARATION D’UNE OIE BLA


    Datte: 13/03/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore, Auteur: rubylong, Source: xHamster

    ... obscène, je lui taquine le clitoris et les nymphes, et très vite des soupirs saccadés entrecoupent ses pleurs. Après l'avoir conduite au bord de la jouissance, je l'y laisse en suspens, son petit attribut gonflé comme une cerise sur le point d'éclater. La laissant panteler, je choisis dans mon armoire une longue badine de coudrier. Je la fais siffler dans le vide. Prudence pousse un cri terrifié. Elle a compris ce qui l'attend.
    
    Alors, sans plus attendre, je me mets à l'œuvre.
    
    SSSWWWIIIISSSSHHH ! ! !
    
    Elle a eu le temps d'entendre siffler la badine car j'ai visé de très haut, et abaissé mon bras de toute ma force. La brûlure atroce qui lui lacère le cul lui arrache un hurlement terrible. Ses fesses que traverse une longue balafre rouge, durcissent comme de la pierre, puis se relâchent, et son anus, qui s'était recroquevillé sur lui-même, s'ouvre d'un coup, comme si elle expulsait de l'air. Mais déjà j'assène le second coup... un centimètre plus bas... juste en travers des globes... SSSSSWWWWIIIISSSSHHH ! ! !Oh comme ce sifflement est enchanteur, et comme le cri torturé qui lui répond est doux à mon oreille ! La jeune personne ne pouvant me voir, je retire mon pantalon, et me voilà, la bite raide, les couilles ballotantes. Elle sanglote d'une façon affreuse, m'adresse des supplications forcenées, hystériques : non, non, elle préfère se marier à la campagne, elle ne veut plus entendre parler de moi, je ne suis qu'un vieux fou...
    
    Ricanant, je lui visse un doigt dans ...
    ... le cul.
    
    — Puisque vous le prenez ainsi, je vais doubler la dose.
    
    Soit dit en passant, son clitoris n'a jamais été plus raide ! Cette fille est sans doute sincère dans ses supplications, mais, ce qu'elle ignore encore, dans sa naïveté, c'est qu'elle est une pure, une authentique masochiste. Je caresse amoureusement les deux striures qui marquent son beau cul. Elles sont en train de bleuir, et deux bourrelets livides se forment de part et d'autre des sillons que la badine a imprimés dans la chair. Il faudra la pommader quand ce sera fini, sinon, chaque pas lui arrachera un cri de douleur.
    
    Ces constatations opérées, sans tenir compte de ses hurlements, de ses insultes, de ses supplications, de ses sanglots hystériques, je reprends mon ouvrage. Tout d'abord, je la cingle en me tenant de côté, de façon à lui marquer la croupe entièrement, en partant des reins et en descendant jusqu'à mi-cuisses. Quand toute cette partie n'est plus qu'un réseau de zébrures horizontales, certaines rouges, d'autres déjà bleues, les plus anciennes virant à un jaune verdâtre qui révèle la profondeur des ecchymoses, je change de position.
    
    Me postant en face du cul ouvert, je vise la fente du fessier et celle du sexe. Je frappe à la verticale, de haut en bas. Les cris qu'arrache cette torture à la malheureuse tournent à l'hystérie la plus bestiale. Ce n'est plus qu'un interminable hurlement, une sorte de râle fou ; par moments, étouffée par ses larmes, elle manque s'étrangler. La folie n'est ...