1. Juste une graine


    Datte: 22/02/2018, Catégories: f, ff, jeunes, fépilée, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... d’ailleurs ; j’adorais me balader à poil, mais je supportais pas qu’il n’y ait pas symétrie.
    
    Je hoche la tête. Ce n’était pas vraiment ce qui s’était passé avec Patrick, puisque jamais à l’époque je me serais foutue à poil dehors ; mais voilà, il n’y avait jamais de réciprocité non plus entre nous.
    
    — T’es au premier, je crois ?
    
    Je fais oui de la tête. Encore un clin d’œil de Valérie, qui me colle les vêtements dans les bras (que j’ai déjà bien chargés). Un instant plus tard, j’ai son débardeur sur le visage et son blouson sur l’épaule.
    
    — Et maintenant, le sprint final !
    
    Je secoue la tête pour faire tomber le débardeur ; j’ai juste le temps de voir ses fesses nues avant qu’elle ne rentre dans la cage d’escalier.
    
    Bon sang, il est à peine 18 h !
    
    J’entends ses pas dans l’escalier, et je me précipite derrière elle. Je crois que des frusques sont tombées, abandonnées au champ d’honneur ; tant pis ! Dieu reconnaîtra les seins, euh, les siens.
    
    Valérie m’attend à l’embranchement de la fourche, les mains sur les hanches, m’exhibant fièrement sa nudité la plus totale.
    
    — Bon, OK, ça vaut pas ta masturbation épique ; mais c’est un début, non ?
    
    Je ne peux qu’acquiescer, avec une pointe de jalousie tout de même. C’est mon territoire, et j’envie son épilation parfaite. Mais pourquoi je n’y ai pas pensé avant ? C’est ça, être nue !
    
    Je ne veux pas être en reste ; aussi, je dépasse Valérie pour être dans « ma » branche de couloir. Je pose toutes les affaires, ...
    ... et après un coup de menton arrogant, je laisse tomber mon manteau et me mets moi aussi les mains sur les hanches.
    
    — Bon, on continue à se les cailler ou on rentre se mettre au chaud ?
    
    On ramasse tout ce qui traîne et j’ouvre ma porte.
    
    À peine ai-je pénétré dans l’appartement que Valérie me saisit par les épaules et me roule un patin. Je suis un peu – juste un peu – surprise.
    
    Je lui rends tout de même son baiser. Profite, profite, me dis-je.
    
    Nous sommes toujours dans l’entrée, la porte ouverte, elle d’un côté du seuil, moi de l’autre. Son corps se rapproche du mien. Nos seins se frôlent, se touchent, puis nos pubis se collent l’un à l’autre. Je suis un peu triste de ne pouvoir profiter de la douceur de son sexe ; le barrage bien mince mais réel de mes poils me privent sans doute de quelque chose.
    
    Les mains de Valérie parcourent à présent mon corps, s’attardant sur mes fesses, puis un doigt s’insère en moi, sans difficulté : je ne crois pas avoir déjà autant mouillé !
    
    Je lui rends ses caresses, mais ma main semble ne vouloir solliciter que son pubis glabre. Oh, c’est encore plus doux que je n’imaginais…
    
    Valérie m’attire vers l’extérieur de l’appartement et doucement m’allonge sur la moquette du couloir. Sa tête se dirige vers mon sexe, et sa langue a tôt fait de titiller mon clitoris. Je m’installe entre ses cuisses et découvre pour la première fois le goût d’une autre femme.
    
    Je regrette aussitôt de ne pouvoir offrir à Valérie le même antre de douceur ...