1. Juste une graine


    Datte: 22/02/2018, Catégories: f, ff, jeunes, fépilée, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... clitoris qui pointe le bout du nez.
    
    Cette vue me donne envie de faire la même chose qu’elle pour pouvoir toucher ma peau qui doit être si douce à cet endroit.
    
    — Hé ! Arrête de rêver : file mon blouson !
    
    Je le ramasse et le lui tends.
    
    — Mais tu vas jamais pouvoir te cacher ; il est trop court ! Il t’arrive à la taille.
    
    Valérie se lève et s’entoure la taille avec son blouson, fait un nœud avec les manches.
    
    — Alors ?
    
    J’ai retrouvé ma voix, même si je reste assez estomaquée. En tout cas, je ne pense plus du tout à ma quasi-nudité. J’ai trouvé ma maîtresse !
    
    — T’es sacrément gonflée ! OK, on verra pas tes fesses. Mais là, je vois tes cuisses presque jusqu’aux hanches. Y a vraiment que ta fente qu’on voit pas.
    — Oh, désolée. Je répare ça tout de suite.
    
    Elle écarte aussitôt les manches du blouson, réoffrant à ma vue son pubis tout lisse et l’ourlet de ses lèvres. Je ne peux m’empêcher de dire :
    
    — C’est super excitant. Je n’avais jamais vu un minou sans poils. Enfin, pas depuis ma puberté.
    
    Elle relâche tout de même les manches de son blouson.
    
    — Ravie que ça te plaise. Bon, sans déc’ : quand on arrive à ton arrêt, je reste collée juste derrière tes petites fesses et on va jusque chez toi. Je me resaperai là-bas.
    
    Je déglutis :
    
    — OK, on… on fait ça.
    — Mouais, mais n’empêche : tout ça n’est pas très juste.
    — Hein ?
    — Ben ouais : toi, tu as vu toute ma moule, et là je vois bien que tu mates mes seins. Moi, j’ai juste eu droit à de l’ombre ...
    ... sur un buisson qui m’a semblé fort épais.
    
    Je rougis devant sa crudité. Décidément, il me reste beaucoup d’étapes à franchir pour devenir celle que je veux être à présent.
    
    — On échange nos places, et discute pas !
    
    Je suis toujours sous sa coupe, et je me retrouve donc sur l’une des places du fond, Valérie devant moi, bouchant la vue au conducteur qui va quand même finir par se poser des questions. Le jean, la culotte et les chaussures de Valérie sont toujours par terre, mais elle semble s’en moquer pour l’instant.
    
    Nouvel arrêt du bus. Deux personnes montent ; ouf, elles restent à l’avant.
    
    — Allez, à ton tour !
    — Quoi, tu veux que j’ouvre mon manteau pour te montrer ma chatte ?
    — Tss, tss. Tu enlèves ton manteau et tu me bazardes tout le haut.
    — Mais, mais… on va me voir depuis la rue !
    — M’en fous. Allez, grouille ! Tu le regretteras toute ta vie, sinon.
    
    Comment a-t-elle pu lire ainsi mes pensées ? Peut-être tout simplement parce que je ne me suis pas opposée à me déshabiller devant elle, mais juste inquiète de me montrer à d’autres ?
    
    Je me glisse dans le coin du bus au lieu de rester bêtement en plein milieu de la travée. J’aurai ainsi trois remparts : les sièges devant, la paroi derrière, et Valérie qui s’est placée sur le côté.
    
    Je déboutonne complètement le manteau.
    
    — Vite, Claire : dans une minute, c’est le prochain arrêt et va y avoir des feux rouges.
    
    Je me dépêche, aiguillonnée par la peur et le plaisir de me retrouver de nouveau nue. Je ...
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