Juste une graine
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
fépilée,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe
... La place à côté de Valérie est toujours occupée par un mec, mais celui-ci ne s’intéresse pas à nous ; son bouquin et sa musique le passionnent beaucoup plus.
— Bon, allez, fais voir cette jupe.
J’ai les mains occupées, l’une par mon sac, l’autre qui s’appuie sur la têtière du siège devant Valérie. Ainsi, je n’ai ni le temps ni la possibilité de faire quoi que ce soit quand elle défait le bouton le plus bas, situé à peine à deux ou trois centimètres en-dessous de mon pubis. Elle écarte les deux pans du manteau et les referme aussi sec. Elle est toute rouge et jette des regards frénétiques autour d’elle. Je suis tétanisée.
— C’est bon, c’est bon, personne n’a rien vu ! Assieds-toi. Tiens, prends mon blouson.
J’obéis ; je ne me contrôle plus, de toute façon. Les ordres passent direct dans les muscles sans passer par la case cerveau. Je crois que mon manteau s’écarte quelques instants mais Valérie a déjà jeté son blouson sur mes cuisses.
Elle me regarde ; elle a l’air… émerveillé.
— Ben ma cochonne ! me dit-elle à voix basse. Je savais pas que tu jouais à ça.
À voix encore plus basse, elle ajoute :
— Toi aussi.
Elle reprend :
— T’aurais pu me prévenir. Non, je suis conne ; ça se dit pas, ça se vit ! T’es complètement à poil, là ?
Je fais juste non de la tête.
— Ah, que le bas, alors. Essaye la totale, un jour : c’est génial. Putain, tu m’as trop redonné envie…
Je ne dis toujours rien ; je crois que mes yeux parlent pour moi.
Je ne le ...
... remarque pas sur l’instant, mais le bus est presque vide maintenant ; il ne se remplira probablement pas avant d’approcher du centre-ville. Le voisin de Valérie est descendu et nous sommes maintenant seules au fond du bus. Valérie l’a bien remarqué.
— Je t’en dois une, p’tite sœur, me dit-elle avec un clin d’œil.
Que veut-elle dire ?
— Attends ; mets-toi debout, là, devant moi.
Encore une fois, j’obéis ; je pose d’abord mes affaires et son blouson sur mon siège et me mets debout entre celui-ci et celui de Valérie. J’essaie alors de reboutonner mon manteau ; mais, d’une main impérieuse, Valérie m’en empêche.
— Bouge plus, je te dis.
Elle glisse alors ses mains sous son débardeur, dans son dos, se tortille un peu. Quelques contorsions de plus et elle a retiré son soutif.
Ses aréoles brunes sont assez clairement visibles.
Le bus s’arrête, d’autres passagers descendent.
— C’était pas ton arrêt ?
— T’inquiète pas pour ça, Claire. Bon, tu bouges pas, hein ?
Dès que le bus redémarre, elle retire ses chaussures. Elle me dévisage à présent ; elle me tire la langue et me refait un clin d’oeil.
Non, pas possible, mais… si ! Elle déboutonne son jean, soulève ses fesses, et retire prestement son pantalon et son slip. Je ne saurai pas si c’est une vraie blonde ! J’en avais bien sûr entendu parler, voire discuté avec d’autres copines, mais c’est la première fois que je vois un sexe intégralement épilé. Je vois toute sa chatte : ses grandes lèvres, et même son ...