1. Private joke


    Datte: 12/03/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, profélève, école, revede, jeu, conte, portrait, pastiche, Humour revebebe, f+prof, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... de toi.
    — Attendez, Monsieur, on va tout saloper. Vous croyez qu’on va prendre notre pied en sachant qu’il y a une heure de nettoyage après ?
    — Euh… !
    — Ben, vous peut-être, mais pas moi !
    
    Monsieur le professeur Dupon, maître de conférences des universités, chevalier des palmes académiques était nu et penaud devant sa jeune étudiante. Cette conversation avait d’ailleurs fortement influé sur la bonne tenue de son sexe. Malgré le renfort des molécules, il ressemblait maintenant à un macaroni trop cuit. Charlotte, bonne fille, devant l’air contrit de son professeur, lui dit :
    
    — Il y a le plan B.
    — Le plan B ?
    — Ben oui, le plan B, la porte de service.
    — La porte de service ?
    — Ben oui, la porte de service. Vous faites sodomiser Larissa toutes les trois lignes et vous ne savez pas ce qu’est la porte de service ?
    — Euh… !
    
    Monsieur le professeur Dupon avait-il bien compris ? Devait-il se pincer ? Charlotte lui avait bien proposé de la sodomiser. Était-ce possible ? Madame Dupon s’était toujours opposée à cet accouplement contre nature. Il n’en connaissait la sensation que par l’imaginaire et les lectures de son site préféré.
    
    — Charlotte, ma chérie, mon amour, viens dans mes bras, consommons cette idylle naissante.
    — Teu, teu, teu, minute, Monsieur, on n’est pas des bêtes.
    — Euh, oui, ma chérie ?
    — Si je ne me prépare pas, vous allez me faire vachement mal.
    — Ah ?
    — Oui, et puis un peu d’hygiène ne fait pas de mal !
    — Euh… !
    — Quand je reviens, vous me ...
    ... lubrifiez.
    — Ah ?
    — Ben oui, vous me ferez une feuille de rose.
    — Une quoi ?
    — Ben, une feuille de rose, vous me lubrifiez l’anus avec votre langue !
    — Ohh… Oui… Oui, bien sûr, Charlotte.
    — Je vais à la salle de bain, je reviens dans cinq minutes.
    
    Monsieur le professeur Dupon regarda sortir la jeune femme, objet de tous ses désirs. Avait-il rêvé ? Non, elle lui avait bien proposé cette suprême félicité avec son inimitable candeur. Il voyait déjà son sexe devant l’iris de cette rosette, forcer l’interdit et ouvrir ce sphincter. Il se voyait coulisser dans ce rectum étroit. Il se voyait… et il voyait !
    
    Il voyait surtout que son sceptre était loin d’être dans l’état que son orgueil de mâle aurait souhaité. D’un regard circulaire, il repéra le fortifiant sur le bureau.
    
    Quand Charlotte revint dans le bureau, monsieur le professeur Dupon était étendu sur le dos, inconscient, un flacon vide à côté de lui. Les secours appelés d’urgence ramenèrent monsieur le professeur Dupon à la vie, mais, malgré toutes leurs compétences, son esprit avait rejoint celui de l’âge de Pélagie. Pour lui, définitivement.
    
    ______________________
    
    S’il fallait trouver une morale à cette historiette, la plus évidente serait :
    
    « Ces femmes, toutes des salopes ! »
    
    Peut-être ! Quoique je préférerais :
    
    « À trop chercher la petite mort, on récolte la sénilité. »
    
    Ouïe ! Aïe ! Oui, je sais que cette histoire est nulle, mais ne frappez pas si fort !
    
    Promis, juré je ne recommencerai ...
«1...3456»