1. Souvenirs de la découverte


    Datte: 12/03/2019, Catégories: fh, hplusag, profélève, fsoumise, cérébral, BDSM / Fétichisme pénétratio, init, nostalgie, prememois, initfh, Auteur: SurfSound, Source: Revebebe

    ... lit, puis se mit à genoux devant elle et attrapa avec ses deux mains le string dont les ficelles s’enfonçaient un peu dans la peau de la belle. Tenant bien les deux fils de chaque côté, il commença délicatement à tirer. Les yeux grands ouverts, respirant toujours comme lors d’un marathon, Marie souleva son bassin juste ce qu’il fallait. L’homme continua ainsi la manœuvre sans s’arrêter, le sous-vêtement glissant sans accrocs. Volontairement, il rapprocha sa tête du bassin et huma le parfum que le tissu libéra. Quel rêve !
    
    Marie était gênée, comme la toute première fois, de dévoiler son intimité ultime à un homme. Ça avait déjà été le cas avec son premier copain ; là, ça recommençait. Cela n’avait rien à voir avec le fait qu’il ait vu ses seins. Là, c’était le saint des saints !
    
    Que pensait-il, alors qu’il retirait complètement le string ? Que se dit-il quand il regarda alors avec insistance ce pubis qu’inconsciemment elle essayait de cacher en serrant les jambes ?
    
    Il vit une merveille, une peau toujours aussi blanche, avec un centre une toison rectangulaire et dense, taillée en ticket de métro, parfaitement agencée, dont deux timides lèvres roses se démarquaient. Il n’hésita pas à contempler, pour montrer à cette jeune femme qu’elle ne devait en aucun cas avoir honte qu’un homme l’admire. Puis, à son tour, il se dévêtit, sans gêne, libérant son sexe dur et massif.
    
    Alors il reprit ses embrassades, en partant des chevilles, à travers le tissu des bas, ultime étoffe ...
    ... que portait Marie. Il remonta doucement les jambes, passant les genoux, arrivant à mi-cuisses. Marie a bien cru qu’il allait lui embrasser le pubis ; elle savait que cela se faisait, et elle avait lu que les femmes aimaient beaucoup. Mais l’homme, astucieusement, survola la zone, respirant volontairement à plein poumons alors qu’il était au-dessus, fermant les yeux pour apprécier l’odeur. Ses lèvres atterrirent sur le ventre.
    
    Il faisait chaud. Le feu de cheminée puis la chaleur des corps… Marie voyait son beau professeur à genoux à côté d’elle. Son sexe dur l’impressionnait, et allongée elle se laissait embrasser. Lui ne savait pas trop par où continuer, alors il embrassait çà et là, contemplant la merveille. De temps à autre, un baiser, parfois langoureux, et des caresses, beaucoup, tendres et furtives, sur les hanches, les seins, ce qui faisait frissonner la jeune femme.
    
    Le professeur redescendit et se plaça face à Marie. Ultime hésitation, il ne savait pas quoi faire. Il voulait tout autant la lécher et boire son nectar que la pénétrer. Il se décida de commencer par du classique. Se saisissant délicatement des petites chevilles qu’il embrassa au passage, il avança entre elles, sur les genoux, remontant doucement, embrassant le ventre de son étudiante.
    
    L’homme se rapprocha d’elle. Marie se souvient qu’elle haletait, frissonnait un peu, comme si c’était la première fois. En somme, cela l’était puisque là, l’homme ne se cachait en rien. Il allait la pénétrer, elle le ...
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