1. Souvenirs de la découverte


    Datte: 12/03/2019, Catégories: fh, hplusag, profélève, fsoumise, cérébral, BDSM / Fétichisme pénétratio, init, nostalgie, prememois, initfh, Auteur: SurfSound, Source: Revebebe

    ... replongea, avec ses petits baisers dont elle était déjà friande. Alors il se décida, et ses grandes mains se remirent derrière la belle, dans le creux du dos – évitant toujours les fesses pour ne pas la brusquer – et lentement, tendrement, les paluches remontèrent à la base du cou, s’y attardèrent un peu, puis s’écartèrent vers l’extérieur. Attrapant les bretelles, les mains redescendaient le long des bras. Marie, les yeux fermés, la respiration forte, mit ses bras le long du corps pour faciliter la manœuvre. Sous ses baisers, les yeux clos, l’homme sentit le soutien-gorge s’en aller, Marie le sentait également glisser pour tomber derrière elle sur le tapis.
    
    Le professeur se recula légèrement ; il vit alors deux merveilles. Deux petits seins, presque moyens, à la base assez large, très fermes, se maintenant tout seuls, avec à leur extrémité un mamelon rose de taille normale qui précédait un téton tendu.
    
    Gardant les yeux ouverts, ses mains vinrent alors doucement se placer chacune sur une des petites masses, sentant la chaleur et le cœur de la belle battre la chamade. Contemplant les deux trésors, touchant leur pointe – ce qui faisait frissonner Marie –, il se décida et retourna les embrasser. Tendrement, léchant parfois les pointes. Marie plaquait la tête de son professeur contre son corps.
    
    Marie se souvient de la manière dont il avait fait l’amour tendrement à sa poitrine. Les caresses, à la main ou buccales, les baisers entre et sur les seins. Le jeu des doigts ...
    ... avec les tétons. D’exquises et inconnues sensations.
    
    Le prof décida de se limiter au conventionnel pour cette première fois avec elle. Mais continuant massages et caresses sur ces petites épaules, embrassant langoureusement la jeune femme, ses grandes mains se délectant de toucher ces jeunes seins bien fermes.
    
    Alors ses mains descendirent plus bas, longeant le creux des reins pour toucher la hanche, parcourir des fesses fermes. Marie n’avait jamais connu une telle douceur mêlée d’érotisme. Les caresses, tantôt légères, tantôt fermes sur ses hanches, son ventre, puis à nouveau sur ses seins, la faisaient sombrer dans la rêverie, un plaisir intense ; elle quitta la bouche du bellâtre pour la caler dans le cou viril. Elle sentait son ventre bouillonner.
    
    Un court instant plus tard, elle sentit la main remonter une cuisse. Elle respira pleinement. La main se cala sur son pubis, palpant le tissu humide du string. Le professeur sentait la chaleur et l’excitation. Marie commençait à onduler du bassin malgré elle, ces caresses n’ayant rien de comparable aux approches de son ex. Elle voulait qu’il retire ce tissu, qu’il la caresse à même la peau. Ses vœux allaient être exaucés rapidement.
    
    L’homme se leva et la tira dans le lit, très délicatement, en plusieurs gestes. Après l’avoir enlacée et retiré son tee-shirt, il sentit les seins fermes et pointus contre son torse. Des embrassades délicates, mais parfois fougueuses, il continua le rite.
    
    Il se releva un instant sur le ...
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