Souvenirs de la découverte - Histoires de Sexe

Souvenirs de la découverte

... savait. L’homme s’avança à genoux, puis se positionna entre ses jambes qu’elle écarta sans réfléchir, dévoilant à nouveau une fleur érotique aux pétales déployés et suintant l’amour, au milieu de la petite toison soigneusement taillée.

Il se pencha sur elle et l’embrassa sur le corps, l’électrisant à nouveau, alors qu’elle le sentait encore remonter. Elle sut le moment venu quand il s’arrêta pour se redresser, et avec ses deux mains se saisit délicatement du bassin pour le relever un peu ; et alors qu’ils se quittaient du regard, elle le vit se saisir de son phallus, qu’elle sentit le plaquer contre l’entrée de sa grotte humide. L’homme prit sa respiration, qui était d’un rythme soutenu.

Alors il s’inséra. Sans forcer, il glissa au fond. Ouvrant tous deux grand la bouche, avec un petit râle respectif quand le dard tapa au fond de la caverne.

Marie se souvient d’avoir été terrassée d’un plaisir inconnu et insoutenable qui l’avait électrisée. Elle ferme les yeux. Dans sa baignoire, elle commence de nouveau à être excitée quand elle se rappelle la sensation du membre viril glisser dans son ventre pour la première fois. Elle se rappelle avoir courbé son corps vers l’extérieur sous les assauts du plaisir.

Connaissant l’importance du moment, le mâle s’arrêta un instant pour savourer, son pieu enlacé dans ce fourreau brûlant, mais aussi pour embrasser tendrement la demoiselle qui apprécia cette attention alors qu’elle sentait les mains viriles à nouveau la parcourir. ...

... Rien à voir avec le fait de subir comme cela avait été le cas avec son copain.

Le professeur inséra sa main gauche derrière la nuque, sous les cheveux de la belle, commençant des massages qui l’électrisaient. Les yeux fermés, elle bascula sa tête complètement contre l’oreiller. Elle sentit l’autre main descendre, passer sur un sein pour se caler sous sa fesse gauche. L’homme commença ses allers-retours.

La minute qui suivit fut une expérience unique. Tendres, soignés, calmes, les gestes du prof étaient parfaits. Marie en oubliait qu’un homme de 21 ans son aîné était en train de lui faire l’amour ; elle grimpait aux rideaux, elle était presque ailleurs. Elle sentait les doigts dans son cou qui lui envoyaient des décharges, alors qu’entre ses jambes c’était un incendie permanent, son intérieur, à chaque passage du membre dur, surchargeant d’informations le cerveau. Elle appréciait tant ce sexe viril entrer et sortir, c’était merveilleux.

En face, son partenaire était aussi en route pour les cieux. Son sexe dur, au bord de l’explosion, il ouvrait grand les yeux pour contempler cette belle offerte à lui. Il regardait régulièrement vers le bas, se soulevant un peu pour voir son bout de bois entrer profondément, le sentant enlacé par la douceur et la chaleur, une humidité électrisante. Il regrettait presque de ne pas pouvoir être plus viril. Il n’en perdait pas le nord sexuellement, il contemplait rapidement ce bassin accueillant en pensant qu’il était au fond de lui, sentant ...