1. Marcel


    Datte: 10/03/2019, Catégories: hhh, jeunes, copains, bain, campagne, caférestau, amour, cérébral, hsodo, historique, init, Auteur: Claude71, Source: Revebebe

    ... les autres, ce n’était pas souvent qu’il pouvait les ramener dans sa chambre.
    
    — J’ai vingt ans. Et toi, Marcel ?
    — Bientôt dix-huit et j’l ai jamais fait. C’est pas facile de trouver un mec.
    — Te fais pas de bile, tu as trouvé et je vais t’apprendre, il faut que ce soit bien pour ta première.
    
    En effet, Jules tint ses promesses et pour une première, ce fut une grande première. Dans la chambre, il embrassa Marcel. Ah ! Ce baiser, quelle fête pour Marcel ! Il banda instantanément. Jules le déshabilla doucement en le caressant, en le mignotant. Il agaçait de ses doigts ou de sa langue les tétons de son jeune amant, paluchait ses fesses, les pétrissait à l’occasion.
    
    Quand Jules fut nu à son tour, Marcel demanda à toucher son sexe, la première bite qu’il allait prendre dans sa main. Son compagnon bandait dru, sa queue redressée touchait presque son ventre. Les mains de Marcel caressèrent le corps de Jules. Il n’était pas aussi baraqué que les hommes qu’il côtoyait habituellement mais sa peau imberbe était douce et ses muscles fermes. Putain que c’était bon ! Ils s’allongèrent sur le petit lit de Jules et s’enlacèrent. Le corps à corps était sensuel, les bites s’excitaient, les bouches se prenaient. Jules suça Marcel avec art et ce dernier ne tarda pas à jouir.
    
    — On dirait que t’en avais envie.
    — Oh, Jules ! C’est super et tu fais ça bien ! Je peux essayer aussi ?
    — Arrête de demander, vas-y mon pote, amuse-toi.
    
    Ils se placèrent tête-bêche et Marcel goûta, ...
    ... d’abord, le gland qu’il lécha consciencieusement. Puis, n’y tenant plus, il enfourna le jonc jusqu’à s’en donner le hoquet. Il suçait, léchait… Branler son compagnon avec ardeur, c’était un délice autant pour lui que pour Jules. Pendant ce temps, Jules n’était pas resté inactif. Il initiait Marcel aux joies d’un bon léchage de cul. Surpris, ce dernier y prit vite goût.
    
    — Tu aimes ?
    — C’est le pied, si tu continues tu vas me faire jouir.
    — Attends, j’ai mieux.
    — Tu veux me la mettre.
    — Non, la première fois, ça fait mal, là je vais te doigter.
    
    Il prit de la vaseline et massa la rondelle de Marcel, enfonça un doigt, puis deux. Marcel découvrait un plaisir nouveau qui venait de l’intérieur. Ça montait, ça montait et il ne put retenir l’éjaculation qui l’aspergea.
    
    — Putain, c’est trop fort, j’en peux plus !
    — Repose-toi, mon chaton et après tu me baiseras, j’aime ta queue. Elle va me faire du bien.
    
    Marcel banda rapidement et, suivant les conseils de son aîné, il l’encula avec beaucoup d’entrain. Maintenant, il pouvait se retenir et durer pour que Jules en profite au maximum. Il attendit que Jules jouisse pour se lâcher à son tour. Les deux amants s’effondrèrent et s’embrassèrent longuement. Ils étaient repus et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain, après une grasse matinée, ils allèrent voir le défilé.
    
    — J’aime pas l’armée, j’aime pas la guerre, mais j’adore les bidasses. Ils me font bander. J’ai un pote qui défile, il est polytechnicien.
    — Moi, ...