Encore des photos
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
fh,
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Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe
... J’entends le froissement des vêtements qu’on retire. Et puis… plus rien. Je compte calmement jusque vingt, puis je lui envoie un texto :
Lorsqu’elle s’est exécutée, je compte encore, pour la faire chauffer un peu. J’arrive à pas de loup dans le séjour avec un large foulard noir et je lui dis :
— Je vais te bander les yeux.
Je m’arrange pour que le foulard lui masque le haut du visage et le maximum de cheveux, histoire de la rendre méconnaissable. J’attache ensuite ses poignets devant elle avec une ceinture de sortie de bain.
Maintenant qu’elle a les yeux bandés et les mains entravées, je peux la détailler à mon aise. Elle a un soutien-gorge fait de fine dentelle, dessins de fleurs. Son shorty est assorti, dont l’arrière lui rentre entre les fesses, presque comme un string. C’est vachement sexy. Je tourne encore autour d’elle en effleurant son cou, sa nuque… En laissant traîner ma main sur le haut de la cuisse, le creux des reins. Je lui murmure :
— Tu n’as pas mis de bas aujourd’hui ?
— Non, trop chaud, me répond-elle dans un souffle.
Je lui attrape la nuque et l’embrasse à pleine bouche. Elle répond fougueusement à ce baiser. Je romps le contact. J’ai déjà envie de la sauter ! Putain… ça va être dur de résister. Je la contourne encore, caressant de mes mains son corps, sa poitrine à travers le soutien. Je descends les bretelles de ce dernier le long de ses épaules. Ensuite, je lui sors les seins au-dessus des balconnets. Je passe derrière elle et je ...
... descends son shorty juste en dessous des fesses. Magnifique ! J’empoigne une fesse. Elle gémit. D’un coup, j’arrête tout attouchement. Je me recule d’un pas et la laisse dans cet état. Vision ô combien excitante. Une dévergondée, la poitrine à l’air, le cul bien visible. Sa respiration se fait haletante, dans l’expectative d’un nouvel assaut de ma part. Mais je ne fais rien. Je vais même pousser la torture jusqu’à aller m’asseoir dans le divan et l’observer.
Je laisse passer quelques minutes. Elle se calme. Je m’approche d’elle, attrape la cordelette qui lui emprisonne les mains, que j’utilise comme une laisse et la tire vers le corridor. Elle me suit à petits pas, de peur de trébucher. J’accroche la ceinture à une patère du portemanteau de l’entrée, ses bras sont alors relevés juste au-dessus de la tête. J’allume quelques bougies. Elle est terriblement bandante. D’autant plus qu’elle tortille du cul.
— Arrête de gesticuler !
Elle se mord la lèvre inférieure et baisse ostensiblement la tête. Je lui descends le shorty calmement. Me baissant moi-même, j’embrasse ce qui me passe par la bouche… ses fesses, ses cuisses. Elle lève les pieds, l’un après l’autre, pour que je puisse retirer ce bout de dentelles.
— Écarte les jambes.
Lentement, très lentement, elle les espace et, dans le même mouvement, cambre les reins pour relever son cul. Je l’entends faiblement gémir. Je fais courir mes mains sur son dos, passe sur les côtés, reviens en arrière, sur les fesses que ...