Encore des photos
Datte: 10/03/2019,
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Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe
... d’ordre.
Je place sur mes genoux un petit plateau avec les verres et la bouteille de vin ainsi que des carottes et des tomates-cerises. Lorsque je place le tout sur la table basse du salon, je lui dis :
— Je ne suis pas un fan de « crasses » pour l’apéro. Mais si tu veux, j’ai un petit paquet de chips au sel.
— Nooooon, c’est parfait. Ça ne pourra me faire que le plus grand bien.
— Trinquons, alors.
— Tchintchin.
Après avoir bu l’une ou l’autre gorgée, et avant qu’un silence un peu gênant ne s’installe, elle commence à me poser des questions.
— Tu vis seul ici ? Pas de femme ? Pas de petites amies ?
— Seul, un peu trop à mon goût ces derniers temps. Je n’ai jamais trouvé une femme qui me corresponde. Et toi ? Tu as quelqu’un ?
— Personne. Le travail me prend beaucoup de temps et je m’y consacre à fond. Mon dernier mec n’a pas supporté mes horaires de dingue. Il m’a laissé tomber après un an.
— Quel con ! Ne puis-je m’empêcher de dire un peu trop fort.
Elle ricane.
— C’est mon record de longévité dans un couple. Un an. Ridicule.
Je la sens quelque peu aigrie par cet état.
— Si ça peut te soulager, je n’ai jamais tenu plus de quatre mois avec une femme. Et je crains de devenir difficile avec l’âge. Au plus j’attends, au plus mes critères sont de plus en plus sévères.
— Houlà… J’ai intérêt à être à la hauteur !
— Pour le moment, tu surclasses largement toutes les autres.
— Ha ? dit-elle en rougissant.
— Oui, oui, oui… Ça te dit de passer à ...
... table dans un quart d’heure ?
— Parfait. J’ai plutôt faim.
— Et… est-ce que tu peux me donner un coup de main ? Ce n’est pas grand-chose, mais j’ai des difficultés dans mon état.
Elle me fait un sourire lumineux.
— Bien entendu. Que puis-je faire ?
— La cuisine est par là. Commence par mettre une casserole d’eau à bouillir, lui dis-je.
Je la suis.
— Et… Où sont tes casseroles ?
— Dans le grand tiroir du bas.
En se baissant, son chemisier bâille et, sans le vouloir, Catherine me dévoile un large décolleté. J’en suis bouche bée. Elle le remarque et me toise.
— Il ne faut pas te gêner !
— Pardon, mais ta poitrine est magnifique. Impossible pour moi de faire autrement.
— Magnifique ?
— Plus que ça encore. Et je ne pense pas que ça te dérange vraiment que je te reluque comme ça. Tu es plutôt du genre à te montrer, non ?
— Ça dépend avec qui.
Je commence à faire réchauffer les Saltimbocca.
— Avec moi, je pense que tu prends du plaisir.
— Mmmm… qui sait ?
L’eau commence à frémir. Je lui demande de s’occuper des pâtes. Dès que tout est prêt, nous passons à table. Tandis qu’elle remplit nos assiettes, je sers le vin. Nous attaquons notre repas, sans un mot, mais plein de regards. Puis, après quelques minutes, elle me dit :
— C’est très bon.
— Merci, mais je n’ai pas beaucoup de mérite… J’ai fait appel à un traiteur.
— Ça n’empêche que c’est très bon. Et c’est très agréable de manger ici. Je me sens comme dans un cocon, un peu comme si on avait ...