L'arbre des délices
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fffh,
couple,
hotel,
boitenuit,
revede,
Oral
hgode,
attache,
délire,
fantastiqu,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
... ?
Mes oreilles bourdonnaient. La main de ma femme me masturbait. J’hallucinais. C’était la première fois qu’elle se livrait ainsi à moi sur ses fantasmes. Je dois avouer qu’Annie était fort séduisante, et j’avais imaginé sa chevelure auburn collée à mon ventre. Notre maîtresse de maison avait une bouche dessinée pour boire et délivrer la semence.
— Alors ?
Elle avait stoppé sa caresse.
— J’attends, mon chou, continua-t-elle de sa rauque voix, une voix gorgée de désir, je le savais.
— C’est… c’est délirant, furent les seules paroles que je réussis à prononcer.
Je sentis la bouche de ma femme happer ma hampe.
Fabuleux, sa bouche me pompait comme jamais. Je sentais qu’elle m’avalait bien au fond de sa gorge, j’avais l’impression de disparaître en elle. Puis elle remontait lentement en aspirant, j’imaginais ses joues creusées par la succion. J’aime en effet voir ma femme sucer de cette façon.
La fellation était magistrale. Elle avait le don de ralentir lorsque je m’approchais du point de non-retour. Mes légers soubresauts devaient alerter ma belle fellatrice.
— Il est bon, n’est-ce pas ?
Un grand blanc.
Vanessa parlait alors qu’elle était en train de me prodiguer une extraordinaire fellation…
La bouche accentua sa succion. Chaude et douce, elle me pompait encore et toujours.
— Annie t’adore, tu sais, me susurra Vanessa à l’oreille. Tu devrais voir comme elle aime, mais tu ne verras rien, pas avant que je ne le décide. Tu sens comme elle ...
... te pompe bien ? Ses joues sont creusées, elle t’aspire comme une morte de soif.
Je me tendais sous cette bouche. Maintenant je sentais également les mains d’Annie remonter vers mon abdomen, elle me caressait, me pinçait. Je gémissais, je criais ma joie à ces deux femmes.
— Maintenant nous allons te laisser mon chéri. Annie et moi nous allons nous imbriquer juste là, à tes côtés. Tu nous écouteras gémir, mais tu ne verras rien encore.
— Non, non !! hurlai-je, non ôte-moi le foulard, s’il te plaît !
Pour toute réponse, Annie lâcha ma verge. Je me sentis soudain très seul écartelé sur le lit.
Le silence à nouveau.
Au bout de quelques secondes qui me semblèrent interminables, j’entendis des chuchotements, des froissements de tissus, des soupirs. Un rire. Celui de Vanessa, puis un râle, celui d’Annie certainement. Les deux femmes durent s’allonger à mes côtés, le matelas s’affaissa légèrement, le lit frémit. Une jambe ou un bras frôla mes cuisses. Une chevelure me caressa le ventre. Puis une tête se posa sur le haut de ma cuisse. Les chevelures me chatouillaient.
J’entendais toujours des gémissements à côté du lit. Donc j’en déduisis qu’une troisième femme avait rejoint le duo.
Je frissonnai. La personne me masturbait avec sa chevelure. Ensuite, une chaude bouche se colla à la mienne, la langue me viola buccalement. Un parfum de vanille envahit mes sens. La bouche vorace me laissa respirer, je haletai. Elle me mordilla les tétons, je gémis longuement à ...