1. La sentence


    Datte: 06/03/2019, Catégories: ffh, fbi, piscine, hsoumis, fdomine, intermast, Oral hdanus, jeu, hff, Auteur: Schtroumph à lunettes, Source: Revebebe

    ... le jeu. À l’expiration de sa punition, il pourrait, à son tour, sans doute profiter de la situation. C’était sans compter la malice intrinsèque à la femme dominante !
    
    Claudie se décida rapidement, en effet, à abuser d’avantage de l’esclave d’un jour en lui demandant une nouvelle dose de crème solaire, bien que non nécessaire à cette heure avancée du jour. Cette nouvelle épreuve mettrait le contrôle de Robert à l’épreuve puisque Claudie et Brigitte étaient couchées sur le dos, tête bêche, côte à côte. Derrière leurs lunettes solaires, elles avaient libre cours de le fixer du regard et Robert se doutait bien qu’elles en profiteraient pour détailler son anatomie, ce qui ajoutait à son malaise. Quand il faisait face à l’une, l’autre avait tout le loisir de mitrailler ses fesses de ce regard lourd que l’on sent sur soi à des miles de distance, comme autant de doigts qui tâtonnent et cherchent à deviner les courbes et les contours les plus secrets.
    
    Robert s’approcha donc de Claudie et commença à l’enduire d’une généreuse couche de crème solaire en débutant par les pieds puis en remontant sur ses jambes galbées. Cela lui donnait quelques secondes pour se concentrer et échapper aux sensations qu’il sentait naître en lui, devant cette femme nue et superbe, offerte au soleil de l’été. Il sentait ce frétillement de l’interdit qui vous titille chacune de vos extrémités lorsque le regard se porte sur l’objet de votre convoitise et que l’on n’arrive plus à contrôler.
    
    Claudie ...
    ... participait avec enthousiasme à l’exercice et c’est sans retenue qu’elle écarta ses cuisses pour que Robert puisse y étendre la crème solaire. Ce faisant, elle dévoila d’avantage son sexe. Elle avait glissé les mains sur son bas-ventre et faisait exprès de dégager ses lèvres pour que Robert puisse contempler à loisir son intimité. Sachant l’effet qu’elle aurait sur lui, elle commençait à mouiller. Elle l’encourageait à prendre son temps et à bien l’oindre, à l’intérieur de ses cuisses, dans l’aine puis tout autour de sa toison qui prenait déjà l’odeur de cyprine.
    
    Robert ferma les yeux mais ne put s’empêcher de sentir la peau douce de Claudie tressaillir sous ses doigts. Bien que sachant que cela puisse entraîner une réaction hors de son contrôle, il prit plaisir à s’attarder près du sexe de la naïade qui s’offrait à lui. Il osa même effleurer du bout des doigts les lèvres de la jeune femme, ce qui la fit frémir d’avantage. Dans un geste qui passa presqu’inaperçu il porta son index à ses narines afin de s’imprégner de l’odeur fauve du sexe en désir.
    
    Il continua son œuvre en se félicitant de ne pas avoir eu de réaction trop visible mais, lorsqu’il s’attarda sur les seins, partie de l’anatomie féminine qu’il préférait entre toutes, il ne fut pas long à présenter une nouvelle fois une verge au garde à vous. Les seins de Claudie étaient de taille optimale, se lobant presque complètement dans sa main ouverte. Les mamelons répondaient rapidement au toucher de Robert et se ...
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