1. La descente aux enfers d'une veuve (2)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... monter l’escalier, péniblement. Arrivées dans la chambre d’amis, elle la fit étendre sur le lit.
    
    Annie était allongée sur le lit, sans défense. Clotilde commença à déboutonner sa robe.
    
    — Laisse-moi faire, tu seras mieux, dit-elle.
    
    Et comme son employée ne la repoussait pas, elle se pencha sur elle, et posa ses lèvres sur sa bouche. Ce contact, la sensation de cette langue qui cherchait la sienne fit sortir un peu Annie de sa torpeur.
    
    — Non, Madame Clotilde. Vous savez bien que je ne veux pas.
    
    — Ne dis pas de bêtises, fais-moi confiance, Nini, répondit-elle, en l’embrassant de plus belle, et en finissant de déboutonner sa robe. Tu ne voudrais tout de même pas quitter mon service, avec tout ce que je fais pour toi ?
    
    Les effets du champagne, la voix suave de Clotilde lui murmurant des paroles à la fois rassurantes et menaçantes... Tout cela annihilait les défenses de la pauvre femme, qui renonça soudain à refuser les caresses de sa patronne. Encouragée par sa passivité, Clotilde fit glisser ses collants le long de ses jambes, et les jeta sur la moquette. Puis elle s’attaqua à la fermeture du soutien-gorge d’Annie, qui céda vite sous ses doigts experts.
    
    Clotilde se redressa un peu, pour admirer les seins ronds qui, libérés, reprenaient leur volume et leur forme naturelle. Elle jubila en constatant que les aréoles étaient larges avec deux pointes grenues et saillantes, comme elle les avait imaginées.
    
    Elle voulut immortaliser ce moment, tant pour son ...
    ... plaisir, qu’en prévision de la suite de son plan machiavélique. Elle sortit un petit appareil numérique du carton qu’elle avait préparé, et elle prit plusieurs photos d’Annie, allongée les seins nus, avant de placer l’appareil sur la commode, dans l’axe du lit, et de le mettre en mode vidéo.
    
    Il ne lui restait plus qu’un dernier rempart à faire sauter.
    
    Elle posa ses mains sur la taille d’Annie, et commença à baisser sa culotte. Mais celle-ci eut un sursaut, et trouva la force de repousser sa patronne, qui ne se fâcha pas, et se voulut persuasive.
    
    — Laisse-moi faire, Nini. Tu verras comme tu te sentiras mieux sans cette horrible culotte.
    
    — Je ne peux pas, Madame Clotilde, j’aurais trop honte de me montrer nue devant vous, je ne suis pas aussi belle que vous.
    
    — Tu as tort de ne pas aimer ton corps, moi, j’aime les femmes rondes, comme toi. C’est de te laisser faire qui te donne mauvaise conscience ?
    
    — Oui, Madame Clotilde. Ce serait mal. Le bon Dieu l’interdit.
    
    — Alors, il y a une solution, pour que tu n’aies pas mauvaise conscience. Si les choses se faisaient malgré toi, ça ne serait plus un péché...
    
    — Je ne comprends pas ce que vous me dites...
    
    — Je vais faire en sorte que tu ne te sentes pas coupable, je serai la seule responsable...
    
    Tout en parlant, Clotilde s’était levée. Elle sortit du carton deux paires de menottes, et elle attacha les poignets d’Annie aux barreaux métalliques de la tête de lit, bloquant ses bras écartés. Cette posture fit remonter ...
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