1. La descente aux enfers d'une veuve (2)


    Datte: 03/03/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... compliment. Si elle avait su à quoi pensait sa patronne... Clotilde se voyait, enlevant cette robe. Puis, débarrassant son employée de ses sous-vêtements, pour découvrir son corps généreux nu... Avant de la posséder, avec violence, et de la faire jouir.
    
    — Ah, j’allais oublier. J’aurais besoin aussi que tu installes des draps au lit de la chambre d’amis.
    
    — Je m’en occupe, Madame Clotilde, prenez votre temps, répondit Annie, qui se disait que sa patronne allait sans doute héberger quelqu’un le lendemain.
    
    Elle exécuta avec son zèle habituel les ordres de sa patronne. En circulant dans la maison, elle aperçut la table dressée dans le séjour. Une vraie table de réception. Deux assiettes en fine porcelaine blanche, différents verres en cristal, des couverts en argent, des chandeliers... Madame Clotilde la recevait comme une reine ! Ou tout du moins, comme une personne de son monde.
    
    Annie se sentait intimidée, mais elle se reprit pour aller préparer la chambre d’amis. Des draps en satin l’attendaient, pliés sur une chaise, à côté du lit. Celui-ci était très large, avec une tête et un pied à barreaux. En installant les draps, elle remarqua un carton fermé qui n’était pas là d’habitude, mais elle n’y prêta guère plus d’attention.
    
    Clotilde passait beaucoup de temps à se préparer, et Annie occupa son attente avec de menues tâches.
    
    Il était presque 19h, quand on sonna au portail. C’était le traiteur de la ville voisine qui amenait la commande de sa patronne pour la ...
    ... soirée, et Annie ouvrit et le reçut. Elle aperçut les plats à travers leurs emballages, et se dit qu’elle n’avait jamais été invitée à un tel festin.
    
    Quelques instants plus tard, Clotilde la rejoignit. Elle portait une robe très habillée, et incroyablement sexy aux yeux de la sage aide-ménagère. Un fourreau moulant, en satin noir mat, fendu sur le côté jusqu’à la hanche sur des bas résille noirs autofixants. Et il y avait ce décolleté vertigineux en V, plongeant presque jusqu’au nombril, qui ne laissait aucun doute sur l’absence de soutien-gorge.
    
    Clotilde était soigneusement maquillée, ses ongles vernis d’un rouge vif, et sa tenue était complétée avec des escarpins à très hauts talons, et de lourds bijoux. Annie n’arrivait pas à imaginer que sa patronne avait choisi une telle toilette, uniquement pour dîner avec elle. Elle aurait voulu lui faire un compliment sur sa beauté, mais les mots lui manquaient, et elle resta muette.
    
    — Allons, Nini, passons à table, si tu veux bien. Je te laisserai servir les plats, et je m’occuperai du champagne.
    
    — Comme vous voudrez, Madame Clotilde.
    
    Celle-ci indiqua à Annie sa place à table, et elle disparut un court instant, pour revenir avec une bouteille de champagne millésimé dans un seau à glace, et un plateau de petits fours. Elle remplit leurs deux flûtes, et leva la sienne pour trinquer.
    
    — A toi, Nini !
    
    — A votre santé. Et bon anniversaire, Madame Clotilde.
    
    — Merci Nini. Je crois que nous allons passer une excellente ...
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