Le Verger aux Verges
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
Oral
fgode,
fdanus,
sm,
donjon,
attache,
fouetfesse,
lettre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... ce que tu viens de te mettre, je doute que la mienne puisse te combler autant. Mais on verra ça plus tard. Je vais parfaire le tableau.
Et sans attendre une quelconque réponse de ma part, il lie mes chevilles par-dessous le cheval d’arçon. Puis il en fait de même avec mes poignets qu’il entrave dans mon dos. J’ignore où il veut en venir, mais je sais que je le saurais bientôt. Il lâche :
— Première partie terminée…
— Euh… oui, Maître
Il s’éloigne vers le bout de la pièce, et en revient avec un presse-seins en bois. Mon Maître ôte la partie supérieure, puis il attache la lanière dans mon dos, une fois la base nichée sous mes seins. Il serre afin que ça tienne bien, puis il cale la partie supérieure dans les tiges filetées. Ensuite, de ses deux mains, simultanément, il serre petit à petit les écrous.
Pour l’instant, c’est supportable. Doucement, je vois mes chairs déborder des mâchoires en bois. Puis mes seins deviennent lentement douloureux, de plus en plus. Mon Maître me surveille du coin de l’œil, ralentissant à présent ses tours de vis. Je souffle, la sensation est forte, avec l’impression que mes nichons maltraités vont exploser comme des fruits trop mûrs si cette torture continue. Je serre les dents, ça devient trop horrible ! Voyant ma réaction, mon Maître desserre un peu, je soupire de soulagement. Il me demande :
— Ça ira comme ça ?
— Oui, ça ira, Maître… ça ira…
Un murmure approbateur monte de l’assistance devant mes seins aplatis et meurtris, de ...
... mes chairs qui débordent, essayant d’échapper aux mâchoires de bois. Je reste ainsi exposée à la vue de tous durant un certain temps, tandis que, de temps à autre, mon Maître claque mes fesses ou taquine mon clitoris, sans se soucier de qui regarde.
C’est une grande délivrance quand enfin il me détache, quand les seins meurtris sont libérés, quand la chatte se désemplit, quand je peux finalement dégourdir mes jambes. Alors que je viens de finir de me frotter les poignets, et que maintenant, je masse mes seins, mon Maître s’approche soudainement. Sans mot dire, il me serre dans ses bras un long moment !
Normalement, un vrai Maître ne se comporte pas de la sorte, mais comme il s’agit aussi de mon mari, je suppose que nous pouvons nous permettre des petits écarts par rapport à la doctrine. Je me laisse aller contre lui, et les yeux fermés, je profite de sa chaleur. Quand il se détache de moi, il murmure un simple :
— Merci.
— Je suis contente que vous soyez fier de moi, Maître.
Il se contente de sourire.
Toute la soirée, je me comporte en soumise docile et obéissance, c’est une soirée magnifique, extraordinaire, que je veux revivre encore et encore. Peut-être est-ce l’attrait de la nouveauté, mais je fais confiance à mon Maître pour me faire découvrir d’autres horizons.
Je mentirais en disant qu’il n’y a pas eu de sexe, mais ce ne fut qu’avec mon Maître. Même si je sais qu’un jour viendra où un autre homme que lui profitera de moi. Je le sais, cette étape fait ...