1. Le Verger aux Verges


    Datte: 03/03/2019, Catégories: fh, fsoumise, Oral fgode, fdanus, sm, donjon, attache, fouetfesse, lettre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... cheval d’arçon, la bite artificielle entre mes cuisses. Je me demande comment faire, car mes pieds ne touchent plus le sol. La seule solution serait que je hisse sur mes mains et que j’enfourche le godemiché ainsi. Mais comme celui-ci n’est pas petit, il va falloir que je me rehausse bien en hauteur ! D’autant que cette bite n’est pas flexible, ce qui aurait bien fait mes affaires.
    
    — Alors, c’est pour quand ?
    — C’est que… c’est pas facile, Maître. Il va falloir que je hisse sur mes bras et je n’ai même pas de corde au-dessus de ma tête pour me suspendre…
    — Eh bien, je vais t’aider.
    
    Je sens alors deux mains glisser sous mes fesses et me soulever assez aisément. Je dirige alors le gland artificiel vers l’entrée de mes lèvres. Mais ce n’est pas encore ça.
    
    — Un peu plus en avant, Maître…
    — OK… et là, c’est bon ?
    — Oui, là, c’est bon, mais… mais ne me lâchez pas d’un coup !
    
    Mon Maître relâche un peu sa poussée et le haut du godemiché entre en moi. Peu après, mes mains peuvent à nouveau prendre appui sur le cheval d’arçon. Quand je sens que c’est OK, je dis :
    
    — Là, c’est bon, vous pouvez lâcher, Maître.
    — Certaine ?
    — Oui, Maître.
    
    Il retire lentement ses mains, tout mon poids repose alors sur mes mains, avec cette bite rigide qui menace de me perforer si je fais une fausse manœuvre ! Lentement, mais sûrement, je fléchis des bras afin que cette queue bien droite s’enfonce petit à petit. Les centimètres s’engouffrent en moi sur l’œil très intéressé de diverses ...
    ... personnes qui sont plantées autour, avides de voir si toute cette tige bien grosse et rigide entrera bien complètement.
    
    Je me sens envahie par cette chose plutôt monstrueuse, mais j’arrive lentement à mes fins. Plus que quelques centimètres et mes lèvres intimes pourront toucher le cuir du cheval. Je me sens comme écartelée, mais ça rentre toujours. C’est avec un grand soupir de soulagement que mes lèvres se posent enfin sur le cuir. Je suis fière de moi, d’avoir obéi à mon Maître et d’accueillir en moi cette si grosse chose !
    
    — Félicitations, Ininna ! Tu vois que tu pouvais le faire !
    — Merci Maître, je suis contente que ça vous fasse plaisir. Ça a été quand même assez dur, vous savez.
    — Je me doute, ce n’était pas un petit calibre.
    
    Mon Maître se tourne vers Maître Bergen :
    
    — Vous voyez qu’elle a réussi. Vous en doutiez.
    — Votre soumise est finalement plus salope que je ne l’aurais cru.
    
    Un peu surpris, mon Maître s’étonne :
    
    — Pourquoi « salope » ?
    — Ce n’est peut-être pas tout à fait le bon terme, mais ça prouve en tout cas une bonne aptitude à enfourner des bites. Imaginez, cher Dumuzh, ce que ça laisse sous-entendre…
    — Allez-y, je vous écoute…
    — Eh bien qu’un beau jour, elle accueillera en elle des vraies bites, et qu’elle sera contente et fière de les avoir en elle.
    — Hum-hum, en effet.
    
    Mon Maître se tourne vers moi :
    
    — Pas faux, tout ça. Ça te dirait d’avoir des belles bites dans la chatte ?
    — La vôtre me suffit amplement, Maître…
    — Avec ...
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