Le Verger aux Verges
Datte: 03/03/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
Oral
fgode,
fdanus,
sm,
donjon,
attache,
fouetfesse,
lettre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
Bonjour Monsieur Jacques,
En bonne soumise, je relève votre défi, je vais donc essayer de narrer avec mes mots, mon ressenti sur cette fameuse soirée.
Ma première soirée au donjon « Le Verger aux Verges » fut, honnêtement, pour moi un moment merveilleux. Bien qu’accompagnée de Marine et de son Maître qui ne connaissaient pas non plus ce donjon, je ne pouvais m’empêcher de ressentir de l’angoisse : qu’allais-je découvrir ? Serais-je à la hauteur ?
Ce soir-là, mon Maître Dumuzh avait demandé que je sois habillée avec ma robe d’O grenat et noire – celle qui laisse à découvert les seins, un petit cadeau de mon Maître. Un beau cadeau que j’aime beaucoup, car cette robe est franchement magnifique. Le bustier rigide de cette robe dévoile mes seins qui sont bien mis en valeur grâce au contraste chair sur noir. Un collier en cuir autour du cou, des bas noirs autofixants et des talons aiguilles complètent le tout.
— Pas mal du tout, Ininna, pas mal du tout ! Cette robe te va très bien… Tu es une parfaite soumise ainsi !
— Merci, Maître. C’est votre cadeau de Saint-Valentin. J’avais même été très étonnée que vous ayez réussi à en avoir une !
— Je reconnais que j’ai eu un peu de mal à la dénicher, mais ça en valait largement le coup ! Tu es toujours sublime dedans. Et pas qu’avec cette tenue, d’ailleurs…
Très contente de moi intérieurement, je rougis :
— M-merci, Maître…
Nous sommes accueillis très chaleureusement, le Maître des lieux nous fait visiter son antre, ...
... ainsi que les différents meubles et jouets de torture. Enfin, je vois cela de mes propres yeux ! Eh oui, à part Internet et les belles photos, jamais encore, je n’avais vu ça ! Sauf quelques martinets et cravaches, et ce que nous avons à la maison.
Ce donjon, qui est installé dans une maison individuelle à l’écart, est quand même assez grand. Après l’entrée qui sert aussi de vestiaire se trouvent un salon cossu et un bar bien garni. Un peu plus loin, une petite salle plus intimiste sur le côté, puis surtout la grande salle avec plein d’instruments. À l’étage, des coins-repos avec de larges banquettes et lits, ainsi qu’une salle de bain avec des douches. Enfin, il y a aussi une cave voûtée parsemée de diverses grilles, ce qui fait très atelier de bourreau ! Mon Maître confirme mon impression :
— Pas mal du tout ! On se croirait revenu au temps de l’Inquisition !
— Oui, c’est… ça fait quand même un peu peur, Maître…
— C’est plus ou moins le but, Ininna.
Je suis un peu soulagée de voir qu’il n’y a pas beaucoup de monde sur place. Bien que, la semaine dernière, je me sois déjà baladée presque nue, je dis bien « presque », au salon de Bruxelles parmi je ne sais combien de visiteurs, je croyais être débarrassée de ma timidité. Eh bien non, je constate que ce n’est pas encore le cas !
Nous nous installons tous les quatre dans un coin, pas loin du bar, afin de prendre un verre, nos Maîtres sur les fauteuils, et nous les soumises, devant eux, sur des poufs, en position ...