Une cousine éloignée
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... Valérie du coin de l’œil. Je l’ai vue déboutonner sa chemise pendant que j’en levais la mienne. Puis dégrafer son soutien-gorge et libérer ses énormes seins qui pendaient sur son ventre. Ensuite, tandis que je déboutonnais mon pantalon, je l’ai vue déboutonner le sien et le baisser, sans me regarder. Elle l’a plié sur une chaise, puis elle a levé les yeux vers moi un court instant, juste avant de baisser sa culotte et de la jeter sur le plancher de la chambre. Elle avait un gros cul. Je venais d’ôter mon caleçon et de me glisser sous le drap. Elle m’a rejoint, à poil, puis elle est venue sur moi directement. J’étais sur le dos et elle a enjambé mon corps en me regardant dans les yeux.
Ensuite, mon gland a glissé entre ses lèvres qui étaient trempées, et nous nous sommes mis à bouger sur ce sommier, dans cette pièce, dans cette chambre, dans le silence du village. Des ressorts et des lattes de bois ont grincé sous nos mouvements. Ma bite était raide dans la chatte de ma cousine éloignée, et j’ai aimé palper ses énormes nichons qui pendaient en touchant mon ...
... ventre.
On s’est embrassés, plus tard. Sur la bouche, avec la langue.
On s’est souri aussi, il me semble, dans cette pénombre, mais on ne s’est pas dit un seul mot.
Puis j’ai joui en elle.
Ensuite, on s’est endormi.
Mais pas longtemps. Peut-être une heure.
Quand je me suis réveillé, elle me tournait le dos et j’étais contre elle, ma bite toute molle logée entre ses fesses.
Je lui embrassé une épaule et elle m’a dit :
« Tu ne regrettes pas ? »
J’ai remué la tête en disant :
« Oh non. »
Elle a soupiré.
J’ai ajouté :
« J’aimerais bien que tu reviennes. »
Elle n’a rien dit.
Elle a repoussé le drap et elle s’est levée. J’ai suivi attentivement les mouvements de son gros cul dans la pénombre et je l’ai vue passer sa culotte, puis son pantalon.
Et, juste avant d’agrafer son soutien-gorge, elle m’a dit :
« Je vais te laisser mon numéro sur un papier. Dis-moi quand tu es seul chez toi et je viendrai. Ça fait du bien de se faire défoncer un peu. Et puis je t’emmènerai des photos où l’on est tous deux, quand on était petits. »
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