1. Une cousine éloignée


    Datte: 02/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Hardcore, Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Cette histoire s’est déroulée le jour d’un enterrement. Ce sont des choses qui arrivent. Le défunt était un grand-oncle à moi, que je n’avais pas très bien connu, mais les obsèques avaient lieu non loin de mon village, et quelques autres membres de ma famille s’y sont rendus, alors j’y suis allé aussi, par politesse.
    
    C’était juste avant le printemps et il faisait un temps radieux. Il y avait au moins cent personnes dans l’église, et autant dans le cimetière ensuite. Il y avait des larmes, puis des visages pieux, fermés.
    
    Je ne connaissais pas grand monde. J’ai serré des mains et j’ai fait quelques bises. J’ai salué d’autres personnes d’un simple hochement de tête. J’ai jeté une fleur sur le cercueil de cet homme que je n’avais pas connu plus que ça, puis je me suis éloigné.
    
    Et tandis que tout le monde regagnait le parking du cimetière, j’ai vu cette femme venir vers moi.
    
    Elle m’a dit :
    
    « Tu es Antoine ? »
    
    « Oui, ai-je répondu. »
    
    Elle était plus âgée que moi. Elle portait de grandes lunettes de soleil, une veste en laine noire, une chemise à fleurs grises dessous et un jean assez classique, plutôt serré.
    
    « Je suis Valérie. Je crois qu’on est cousins éloignés, m’a-t-elle dit dans un petit sourire pincé. »
    
    J’ai répondu :
    
    « Oh, je suis désolé. C’est possible… »
    
    Elle a secoué la tête et dit :
    
    « C’est certain. On vient de me le dire. On s’est croisés quand on était petits. Je suis la nièce de Jean. »
    
    Jean était l’homme qu’on venait ...
    ... d’enterrer. Et j’avais beau me creuser la tête, je ne me souvenais que très vaguement d’une Valérie dans ma famille. Elle se tenait à un mètre de moi, les mains dans les poches de son jean, l’air confus. Ses lunettes étaient opaques.
    
    Elle m’a dit :
    
    « Je me souviens bien de toi. Tu avais un vélo rouge et on s’est fâchés ce jour-là. Tu devais avoir sept ou huit ans. J’en avais douze ou treize. C’est loin tout ça, mais je me souviens de toi. »
    
    Sept ou huit ans, c’était bien loin tout ça.
    
    J’en avais à présent quarante-six.
    
    Et cette Valérie en avait bien cinquante, à vue d’œil.
    
    Je lui ai répété que j’étais désolé et elle a répondu :
    
    « Ce n’est pas grave. J’ai aussi appris que tu ne vivais pas loin d’ici ? »
    
    « Oui, ai-je répondu. J’ai acheté une petite maison avec ma compagne, pas loin d’ici. Et toi, où habites-tu ? »
    
    « A trente-cinq kilomètres. Tu ne te souviens vraiment pas de moi ? »
    
    J’ai attendu pour répondre. Je me suis creusé la cervelle. J’avais quelques images du passé lointain en tête, mais Valérie restait floue. Les racines et les branches de la famille étaient nombreuses et complexes. Je me souvenais cependant de mon vélo rouge.
    
    Voyant que je ne réagissais pas, Valérie m’a dit :
    
    « Ce jour-là, tu m’as tiré les cheveux et je t’ai mis une baffe. Ça ne te dit vraiment rien ? »
    
    J’ai remué la tête. Je ne voyais pas.
    
    Valérie a dit :
    
    « Ça ne fait rien. Excuse-moi d’être venue t’embêter. »
    
    « Tu ne m’as pas embêté, ai-je dit. Je suis vraiment ...
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