Une cousine éloignée
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... désolé de t’avoir tiré les cheveux. »
Elle a souri et répondu :
« Tu méritais cette grosse baffe que je t’ai mise. Tu as prévu quelque-chose dans l’heure qui vient ? »
« Non. J’allais rentrer chez moi. »
« Dans ce cas, je t’offre un verre au café du village ? »
J’ai pris ma voiture, elle a pris la sienne. Il n’y avait pas cinq cents mètres du cimetière à l’unique café du village. Elle a pris un verre de blanc et moi un verre de rouge. Les liens familiaux qui nous unissaient, Valérie et moi, étaient compliqués : elle était la petite-fille de la première femme de l’homme qu’on venait d’enterrer, et moi j’étais le petit fils de sa demi-sœur.
On nous a servi nos verres et nous avons discuté. Il y avait pas mal de monde dans le café. Beaucoup de bruit. Il allait être midi, c’était le moment de l’apéro. Valérie avait une forte poitrine et six ans de plus que moi. Elle élevait des moutons et son époux était agriculteur. Ils avaient deux fils, de vingt-quatre et vingt-deux ans. Elle vivait à trente kilomètres de là.
Pour ma part, la vie et des relations successives avaient fait que je n’avais pas d’enfants. Et ma compagne travaillait ce jour-là.
Ensuite, nous avons tenté de retrouver des souvenirs communs, mais ce fut compliqué. Il y avait bien eu des lieux et des époques, quelques mariages et des communions, mais cela restait flou dans ma mémoire, contrairement à Valérie qui se rappelait très bien de moi.
Selon elle, nous figurions ensemble sur quelques ...
... vieilles photos.
Nous avons pris un autre verre.
Valérie avait dû être une fille ordinaire, puis de même une femme. Ni belle, ni laide. J’aimais bien son regard. Elle me souriait souvent, tandis que je lui racontais des épisodes de ma vie, mais ses yeux partaient dans le vague dès qu’elle se mettait à me raconter les siens.
Nous avons pris un autre verre, puis elle a dit :
« Mais dans quelle maison vis-tu au juste ? »
Elle connaissait bien le village, mais n’y venait pas très souvent. Je lui ai expliqué quelle maison c’était et elle a hoché la tête. Elle voyait qui étaient les héritiers de la famille qui nous l’avaient vendue, trois ans avant.
Et c’est ici que je lui ai proposé de venir prendre un dernier verre à la maison. Elle a pris l’air d’hésiter, mais pas longtemps.
Elle m’a répondu :
« D’accord, mais vite fait. Ensuite, je rentrerai. »
J’ai réglé l’addition et nous sommes allés chez moi. C’était à moins de cent mètres de là. Il était un peu plus de treize heures. J’ai fait visiter la maison à Valérie et nous sommes redescendus dans la pièce à vivre. J’ai sorti des verres à pied et ouvert une bouteille de vin.
Ma tête tournait un peu et Valérie souriait.
A un moment donné, elle a dit :
« C’est un très bel endroit. Avec mon mari, on a également conservé les poutres apparentes au plafond, et puis les pierres sur certains murs. Nos fils ne vivent plus avec nous, a-t-elle ajouté en prenant son verre. L’ambiance est différente depuis leur ...