Les femmes de quarante ans couchent le premier soir...
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
inconnu,
caférestau,
collection,
cérébral,
Masturbation
69,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
Auteur: Jeff 2, Source: Revebebe
... Elle s’accroche au cou large et fort et se laisse déborder, s’abandonne et feule son plaisir. Elle écarte ses cuisses, perchée sur la pointe de ses pieds, puis les referme dans un léger claquement avant de les rouvrir pour inciter à une caresse plus longue, plus profonde. Elle veut le sentir en elle, aller et venir. Elle veut jouir. Elle veut du plaisir. Elle veut hurler. Elle veut crier. Elle… n’en peut déjà plus. Au bord de l’asphyxie, Alice a l’impression de se noyer. Entre deux spasmes, elle tente de reprendre ses esprits, voudrait reprendre la main, mais prisonnière des bras, des mains, de la langue et surtout du plaisir, elle finit par céder totalement.
Soudain, elle se sent soulevée de terre et, de façon aérienne, elle se retrouve à cheval sur l’un des fauteuils de son salon, nue, la tête d’Adelbert enfouie dans son giron. Une langue dure et fouineuse a remplacé les mains et les doigts. Deux mains lui écartent les jambes tandis qu’une terrible succion aspire ses lèvres intimes. Elle a l’impression que tout son sexe va être absorbé, avalé et l’onde de plaisir qui s’échappe d’elle est tellement forte que son corps se tend comme si elle était traversée par un arc électrique. Elle pousse un cri sauvage qui n’interrompt en rien la langue qui lui fouille l’intimité. Elle sent les dents d’Adelbert qui excitent ses chairs et son nez qui appuie sur son clitoris. Et alors qu’une seconde vague commence à la tétaniser, un pouce raide se plante dans ses fesses, écarte son anus, ...
... remue jusqu’à entrer en contact avec la paroi de son vagin et vient butter contre la langue qui sert de pénis et qui ne cesse de tourner, d’aller et venir. Alice hurle son plaisir et lâche un puis deux longs jets d’un liquide chaud qui inondent tout sur son passage avant de retomber épuisée, en travers du fauteuil.
Alice plane… Alice est épuisée mais heureuse et, en même temps, pas encore rassasiée.
En ouvrant les yeux, elle découvre, à hauteur de sa bouche une longue queue, fine et tendue qu’Adelbert lui présente. En un tour de rein, Alice s’installe plus confortablement et sans se poser de question, elle embouche le dard qui lui est présenté et s’applique à l’exciter.
Deux boules bien lourdes, viennent heurter son menton. D’une main plus timide qu’experte, Alice vient jouer avec les bourses de son amant. Quelle belle sensation… la peau chaude, odoriférante et imberbe prolonge son plaisir. Ses mains, se font rapidement de plus en plus légères et s’enhardissent pour venir papillonner sur le fessier, dur et musclé, puis les doigts descendent vers la raie des fesses, grattent timidement l’entrée de l’anus de son amant qui pousse son sexe dans sa gorge en signe de contentement. Alice s’ingénie à mouiller la queue raide sur sa longueur, puis s’attarde sur le gland, sur le frein. Elle s’enivre de l’odeur, s’étourdit de la dureté, se grise de sa longueur, s’imprègne de son souvenir, de peur de se réveiller de ce rêve…
Mais ce n’est pas un rêve. Son sexe trempé, son anus ...