1. Les femmes de quarante ans couchent le premier soir...


    Datte: 02/03/2019, Catégories: fh, fplusag, inconnu, caférestau, collection, cérébral, Masturbation 69, pénétratio, fsodo, portrait, Auteur: Jeff 2, Source: Revebebe

    ... sur lui et le dévorerait, là, tout cru.
    
    In petto, elle pense que oui, vraiment, elle est devenue cougar et décide de se laisser porter par l’aventure.
    
    À peine les verres bus, Alice sort son porte-monnaie et paye la consommation que déjà, une main virile se pose sur son poignet et l’attire doucement vers l’avant. Deux lèvres chaudes viennent affleurer les siennes et dans un souffle rauque, une langue ferme et pointue viole sa bouche en lui roulant un long, puissant et profond baiser qui la laisse sans souffle et lui électrise la colonne vertébrale, lui fait mouiller son string. Toute étourdie, la peau électrique, elle sursaute presque au contact d’une main indiscrète qui lui palpe la cuisse et qu’elle referme brusquement sur les doigts de l’aventureux galant.
    
    Entre deux prises de lèvres, elle a juste le temps de murmurer :
    
    — Viens, allons ailleurs…
    
    Déjà, ils sont debout, au milieu de la terrasse, elle pressée contre sa robuste carrure qui l’étreint dans un nouveau long et langoureux baiser.
    
    Serrée contre son jeune amant, fière de se pavaner aux côtés de cette impressionnante carrure qui fend la foule avec détermination, Alice lui emboîte le pas et leurs pas les dirigent vers le métro.
    
    — Chez toi ? Chez moi ? susurre le garçon.
    
    Alice ne réfléchit plus. Instinctivement, elle resserre son étreinte et murmure, presque honteuse :
    
    — Chez moi… c’est à deux stations d’ici…
    
    Les mains d’Adelbert semblent être devenues des pieuvres aux mille tentacules, ...
    ... envahissantes, indiscrètes, gênantes et en même temps tellement excitantes qu’Alice est sur un petit nuage et se souvient du temps lointain où ses premiers petits amis tentaient maladroitement – eux – de parfaire leurs connaissances anatomiques du corps féminin.
    
    Moins d’un quart d’heure plus tard, deux stations de métro plus loin, Alice a les mains qui tremblent en introduisant la clef dans la serrure de sûreté. Elle n’a qu’une hâte : celle de se lover dans les bras d’Adelbert et de se laisser emporter loin… loin… aussi loin qu’il est prêt à aller avec elle.
    
    La porte est à peine claquée que les lèvres d’Adelbert s’emparent de la bouche d’Alice et appuient un nouveau long et profond baiser. Mais cette fois, seuls au milieu du petit hall, ses mains entrent réellement en action. Avec dextérité, elles montent et descendent le long de ses bras, ses flancs, son dos, ses fesses, ses cuisses. Elles remontent en faisant crisser la soie de sa blouse, de sa jupe et dénudent ses jambes, en quelques palpations insidieuses au tant qu’indiscrètes, ses doigts s’immiscent entre la fine toile de son string et son ventre.
    
    Un doigt raide et électrisant, légèrement boudiné, s’introduit de bas en haut de sa fente et vient se mouiller au contact de ses lèvres intimes, puis remonte prestement vers le clitoris sur lequel il vient s’appuyer, pour le faire rouler, l’écraser, le titiller, l’exciter. Alice n’en peut plus.
    
    Elle halète, siffle, souffle, sirote la langue qui continue à la fouiller. ...
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