Les femmes de quarante ans couchent le premier soir...
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
fh,
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collection,
cérébral,
Masturbation
69,
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Auteur: Jeff 2, Source: Revebebe
Grande, blonde, la quarantaine, la jupe ample qui cache à peine de longues jambes nerveuses que la belle croise et décroise avec une certaine nonchalance, Adelbert, a trouvé une belle proie, juste comme il les aime. D’ailleurs, du coin de l’œil, il la jauge, la mesure, la respire. Il a remarqué qu’elle ne porte pas d’anneau marital, qu’elle ne s’est pas encombrée de la seconde chaise – qui lui a été volée par un groupe de jeunes lycéens. Elle ne semble guère pressée. Tout semble donc lui indiquer qu’il est à côté d’une femme divorcée et certainement en manque d’amour. Intérieurement, il jubile.
Alice, perdue dans ses pensées érotiques, n’a pas remarqué le manège de ce quidam. Bien entendu, elle a suivi, machinalement sa silhouette de faux marin ou de vrai marlou qui fendait la foule de la terrasse, mais sans plus. Ou plutôt, elle l’a suivi des yeux un instant en pensant que c’était certainement un mannequin, et forte de ses idées toutes faites, l’avait classé dans la catégorie « homo » et s’en était totalement désintéressée.
Aussi, quand le garçon surgit soudain en renouvelant sa consommation, sans qu’elle n’ait rien demandé, elle lève un regard troublé et interrogateur vers la table que lui désigne le loufiat avec son amabilité légendaire.
Adelbert salue en direction d’Alice, avec un grand sourire avenant et un clin d’œil complice. Alice ne sait qu’elle contenance adopter. Doit-elle refuser ? Doit-elle s’offusquer ? Accepter ? Mais elle n’a pas le temps de faire le ...
... tour des interrogations vertueuses qui l’assaillent que son « bienfaiteur » est devant elle. Pantalon moulant les fesses et mettant en valeur son paquet masculin, Alice n’ignore plus rien de sa virilité. Elle sourit, niaisement, sans arriver à détacher son regard de cette braguette et qui reste ostensiblement à la hauteur de sa vue.
— Puis-je vous accompagner ?
Avec un instant d’hésitation qui permet à son interlocuteur de hisser au-dessus des têtes des consommateurs avoisinant une chaise et de s’y installer, Alice bredouille un « oui », gêné et à peine audible, impressionnée à la fois par le culot, la force et la désinvolture du garçon.
— Adelbert, pour vous servir…
— Heu… Alice.
À mi-voix, il entreprend de la complimenter sur sa tenue, son bronzage, la boisson qu’elle boit… bref, en l’espace de quelques minutes, elle est étourdie de paroles, ne sait que répondre, hoche la tête, ouvre de grands yeux un peu effarés et finit par éclater de rire. Un rire de gorge qui éclate et fait tourner plusieurs tête. Adelbert, pour se mettre à l’unisson, rit aussi. Et leurs mains se touchent, leurs bras se frôlent, leurs jambes finissent par s’imbriquer. Une situation qui ne gêne nullement l’intrus mais trouble Alice qui était au bord de la jouissance. Ce contact viril, cette chaleur, cette odeur, cette voix grave et chaude subjuguent Alice et complètent son excitation. D’ailleurs, si elle n’était pas assise à une terrasse de brasserie au milieu d’une foule, elle se jetterait ...