54.2 Les envies de Jérém (deuxième du nom).
Datte: 28/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... je vais devoir le faire jouir sur le champ.
D’autant plus que je sens toujours et encore son regard sur moi, lourd, insistant, concupiscent ; je vois, je sens qu’il prend du plaisir grâce à ce que je fais à sa queue, mais je sais aussi qu’il prend du plaisir à me regarder faire, et à me voir le kiffer à ce point.
Je me dis que si non seulement il aime ce que je lui fais mais qu’en plus il aime me regarder le faire, c’est qu’il y prend vraiment goût ; et ce, même si je suis un mec ; peut-être même qu’il kiffe regarder parce que c’est moi qui lui fait ces trucs.
Je me sens chanceux. Il pourrait s’envoyer toutes les meufs qu’il veut et même, à la limite, tous les pd qu’il veut, et il vient chez moi pour me baiser, moi.
« Allez, pompe bien, vas-y, ça vient… ».
Mais alors que ma bouche savoure pleinement sa chance inouïe et s’apprête à recevoir le plus exquis des nectars, je sens mon entrejambe réclamer sa part de bonheur.
Avant de rentrer chez moi, le bogoss m’a dit qu’il n’avait pas le temps ; puis, alors que je venais de lui proposer une gâterie, qu’« il y a toujours le temps pour une pipe ». Dans tous les cas, j’ai l’impression qu’il est pressé, et qu’à tous les coups il ne jouira qu’une fois avant de se tirer.
Eternel dilemme, insolvable dilemme, lorsque la galipette est hâtée, le choix impossible entre l’envie de le sentir se répandre dans ma bouche, de sentir ses giclées lourdes, puissantes, chaudes bombarder mon palais, couler sur ma langue, dans ma ...
... gorge ; ou bien l’envie de me laisser défoncer comme il sait si bien faire, de me laisser féconder par sa puissance virile, de savoir que sa semence est au plus profond de moi ; sans hélas pouvoir y goûter.
« J’ai envie de toi… » je finis par lui balancer, ivre de lui.
« Tu veux que je te démonte le cul, hein ? ».
Je ne trouve rien à répondre, à part un hochement de la tête, sorte de supplication silencieuse.
« Vas-y, suce, ça va vite venir… ».
Puis, devant mon hésitation :
« Fais-moi jouir et avale, je te baise après… ».
Cool, apparemment il n’est pas aussi pressé que je le pensais. J’adore.
Je le pompe à fond, bien décidé à le faire jouir et à l’avaler comme il me l’a consigné.
Très vite, des spasmes dans sa respiration et des petites contractions de sa queue m’annoncent l’arrivée imminente de son orgasme.
Et là, alors que je m’emploie pour goûter à la manifestation liquide et chaude de son plaisir, son buste se relève précipitamment, sa main me repousse d’un mouvement brusque. Surpris, je recule un peu, toujours à genoux. Le bogoss se met debout, tout en se branlant. Nu, avec sa casquette à l’envers sur sa tête, il me domine de toute sa taille et sa musculature. Mon bobrun est droitier mais il se branle de la main gauche. Il se branle à fond ; et c’est beau.
« Vas-y, sors ta langue, tu vas tout prendre… ».
Ah oui, il veut la jouer comme ça… il est chaud mon Jérém aujourd’hui. Et qu’est-ce que c’est bon de le sentir exprimer ses envies avec ...