À l'heure d'été
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Mature,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... reposait pas sur la table, à dessein, afin que pour reposer les muscles de son cou, elle fût obligée de la basculer en arrière, de sorte que sa bouche était juste à la bonne hauteur pour que je glisse mon pénis entre ses lèvres ouvertes, sans qu’elle puisse résister – elle n’avait d’ailleurs pas l’intention de résister. Je l’ai attrapée par les cheveux et je la guidais délicatement pour qu’elle gobe tout mon braquemart selon l’angle adéquat. Pendant qu’elle me bouffait la bite à pleine gorge, je lui arrosais les seins de cire brûlante, car Rose avait amené les bougies de domination, et je lui tourmentais les tétons à l’aide de cruelles pinces à linge qui serraient très fort. Agathe gémissait la bouche pleine, autant qu’elle le pouvait.
Puis Rose a glissé deux boules de Geisha vibrantes dans l’anus de notre voisine et deux autres dans son propre (à tous les sens du terme) trou du cul. Cette intromission a déclenché la jouissance d’Agathe dont les gargarismes et les bavements désespérés étaient merveilleux à entendre. Rose et moi avons su plus tard que notre voisine, qui était une grenouille de bénitier, avait l’habitude de se fourrer toutes sortes d’objets religieux dans le trou interdit, ...
... en particulier le manche de son crucifix, des bougies et des hosties consacrées (le plaisir est meilleur quand elles le sont, selon Brassens), tout en lisant la Bible où elle y trouvait l’évocation de tous les fantasmes les plus pervers, à commencer par l’histoire de Lot dans le livre de la Genèse (si je racontais l’histoire ici, ce serait censuré), et aussi le passage de Jésus avec la Samaritaine où celle-ci, d’après quelques exégètes, ne se serait pas contentée de lui donner de l’eau à boire…
Ensuite, Rose a dépucelé Agathe, sans crier gare. Il y avait beaucoup de sang le long de la tige de plastique. J’ai joui en même temps dans l’accueillante gorge de notre voisine qui se délectait de mon sperme, même s’il n’y en avait que quelques gouttes, car je m’épuisais. Je pensais à la jeune Coralie. Il est en effet curieux que souvent, je baise une femme et je pense à une autre, et quand vient le jour où je baise cette autre, je repense à la première, en superposant les visages comme autant de facettes de la merveilleuse féminité.
Chers amis, j’espère que ce fantasme vous a plu. N’hésitez pas à commenter, et pourquoi pas à me donner des idées d’histoires pour vois faire mouiller, mesdames...