À l'heure d'été
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Mature,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
Heure d'été oblige, le soleil se levait à peine lorsque le suis descendu dans le jardin à l'herbe était encore imbibée de rosée fraîche sous mes pieds nus.
Je me suis attablé après m'être préparé un café ainsi que pour ma compagne Rose, dont je savais qu'elle n'allait pas tarder à me rejoindre. Mes pensées s’inspiraient du gazouillis des oiseaux matinaux et des quelques nuages blancs qui traversaient le ciel et dont les formes me rappelaient les rondeurs des femmes dans leur nudité exquise – ma raison de vivre. Nous avions fait l’amour une bonne partie de la nuit, jusqu’à nous endormir dans les bras l’un de l’autre, épuisés de luxure, et pourtant, j’avais encore envie, assoiffé de sexe que j’étais. Mon pénis qui se dressait sous mon pyjama se rappelait à mon bon souvenir. Puisque l’œil borgne avait envie de voir l’astre du jour, j’ai abaissé l’élastique qu’aux genoux, afin de libérer la bête sauvage qui rugissait entre mes cuisses.
Ma voisine Agathe, qui était en train de tailler ses rosiers en profitant de la fraîcheur matinale, pouvait me voir. J’ai toujours aimé m’exhiber devant cette vieille fille de soixante ans, aigrie par le regard des autres hommes. Peut-être à cause de moqueries qu’elle avait subies au cours de son adolescence, elle était persuadée que sa laideur l’empêchait de séduire ; en réalité, elle conservait un charme féminin qu’elle ne devinait pas et auquel je ne restais pas insensible. Je lui ai fait un geste pour lui signifier qu’elle pouvait venir ...
... me rejoindre quand elle le voudrait. Elle m’a fait « non » de la tête, mais, hypnotisée par mon impudeur, elle continuait à me regarder fixement et son regard disait qu’elle appréciait l’obscénité du spectacle d’un homme qui se masturbait devant elle. Je devinais qu’elle mouillait dans la virginité de sa petite culotte blanche, de celles qu’elle étendait habituellement sur son fil à linge juste à la frontière entre nos deux jardins, afin de me provoquer sans doute, ou de provoquer Rose, car la dame était peut-être lesbienne au fin fond de son être.
Toujours était-il que je prenais soin de me caresser avec lenteur afin de ne pas gaspiller ma précieuse semence, car ce dimanche libre de toute contrainte s’augurait fortement érotique. Rose est enfin descendue dans le jardin, et s’est assise en face de moi, chaussée de ses lunettes noires afin de ne pas être éblouie par le soleil qui me couronnait. Son kimono de soie rouge lui donnait l’air d’une reine altière, un unique vêtement sous lequel se devinait la nudité abondante de ses cent-vingt kilogrammes de chair tendrement rosée en rondeurs délicates qui me rendaient fou.
Elle petit-déjeunait avec appétit, mais sous la table, ses petits pieds ronds et charnus se sont occupés de malaxer ma verge : elle était si habile à ce jeu que je n’ai pas tarder à éjaculer. Elle m’a confié sa tasse pour que j’y déverse ma semence pour la mélanger au café. L’expression de mon visage au moment où j’ai été saisi par l’orgasme l’a fait rire. ...