À l'heure d'été
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Mature,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... C’était comme un éclair, un torrent de lumière qui me foudroyait par beau temps. À cet instant, j’aurais pu mourir d’épectase – cela aurait été une belle fin.
Rose aimait particulièrement le sperme dans son café du matin et a tout bu d’un trait. Puis elle s’est octroyé deux longs sous-marins beurrés généreusement. Coquine comme toujours, elle a écarté les pans de son kimono afin que je puisse contempler ses deux grands hémisphères féminins pendant qu’elle se nourrissait. Il était terriblement érotique de la regarder manger. Quand le soleil s’est caché derrière le poirier, elle a retiré ses lunettes. Elle avait les yeux qui brillaient. Je me suis servi de mon pied afin de lui peloter la chatte, pour lui rendre la pareille. Elle a écarté les cuisses pour que je puisse la pénétrer avec mon gros orteil, car ma vaginale adorait ce geste, comme tout ce qui conduisait à occuper le creux de sa gaine intime. Elle a défait la ceinture de son vêtement, me révélant entièrement les rondeurs superbes de ses mamelles dont elle excitait les tétons avec ses doigts. J’ai encore fait signe à Agathe pour qu’elle vienne nous rejoindre. Ce jour-là, notre voisine jusque-là si distante a enfin accepté de se mêler à nos jeux.
Agathe a inspecté mon sexe avec curiosité, car elle ne connaissait rien de tout cela, sinon les descriptions sans images des livres à l’eau de rose qu’elle lisait habituellement. Elle a pu me tripoter autant qu’elle en avait envie. Cependant, ce n’était pas ma virilité ...
... qui l’intéressait en priorité, mais les courbes généreuses de ma tendre amie. Une nuit, après une étreinte particulièrement dynamique, alors que nous étions épuisés, Rose m’avait chuchoté qu’elle avait envie d’une femme et qu’Agathe avait quelque chose de spécial dans son regard qui la rendait attirante. S’en était suivi une description très crue de son fantasme au cours duquel il était prévu que notre voisine devienne folle de volupté. Rose parlait dans l’obscurité avec un vocabulaire riche et fleuri, de sorte que, même fatigué par trop de fornication, mon pénis se levait encore, ce qu’elle percevait dans le noir complet, rien qu’à l’odeur et au bruit de ma respiration. Alors, sans cesser de raconter son histoire, elle m’a encouragé à ma branler tout en chatouillant mes testicules, puis elle m’a prodigué un massage de prostate, ce qui m’a fait pleurer en me vidant des ultimes gouttes de sperme.
Ce matin-là, Rose est allée chercher son gode-ceinture et un flacon de lubrifiant afin de s’enduire généreusement son phallus artificiel qui était de belle taille, et dont elle se servait souvent pour pratiquer le chevillage en me sodomisant jusqu’au fin fond de mes tripes, en particulier dans des soirées libertines au cours desquelles nous nous donnions en spectacle afin d’exciter les autres couples. Je me souviens en particulier d’une séance particulièrement épicée qui a eu lieu chez nous, avec un couple d’amis antillais, Hélène et Pierre. Ils étaient venus avec leur fille Coralie ...