1. Voyage d'une dévergondée


    Datte: 24/02/2019, Catégories: ff, inconnu, train, fsoumise, fdomine, photofilm, délire, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... instruments du Diable pour pratiquer une horreur pareille, ce qui me conduira tout droit en enfer, il y a des chances pour que je sois aussi une dangereuse terroriste. D’où le privilège d’avoir droit à la palpation de la part de cette charmante dame, peut-être un tantinet psychorigide, mais au physique néanmoins fort avenant et aux beaux yeux noisette.
    
    Malheureusement, je n’avais pas de pistolet caché dans mon soutien-gorge, ne possédant pas une telle arme à feu. Je n’aurais donc pas pu détourner le train au moment où celui-ci se trouverait dans le tunnel, afin de réclamer une rançon qui m’aurait permis de vivre au soleil sans travailler jusqu’à la fin de mes jours. C’est surtout en prison que j’aurais été jusqu’à la fin de mes jours. Mais je veux bien, pourvu que ce soit dans une cellule avec des codétenues bien roulées et un peu lesbiennes sur les bords.
    
    Elle n’a sans doute pas remarqué, mais je cache une bombe atomique dans mon vagin. Au moins cent mégatonnes, avec un détonateur situé juste au-dessous de l’os du pubis, caché dans un fourreau. Monsieur le juge, si vous appuyez sur le bouton, même un sourd m’entendrait hurler.
    
    — Accusée Calpurnia, levez-vous. Depuis combien de temps détenez-vous une telle arme de destruction massive ?
    — Depuis environ ma puberté, Votre Honneur. Elle a beau exploser de temps en temps, elle est toujours là.
    — Vous êtes une dévergondée. Je vous condamne donc à la pendaison, suivie d’un enterrement dans le caveau de Margaret ...
    ... Thatcher.
    — Non ! Pitié ! Pas Margaret Thatcher !
    
    Avec un peu de chance, elle aurait pu m’entraîner dans les sous-sols secrets de la gare, où l’on pratiquerait des interrogatoires « spéciaux » malgré leBill of Rights qui interdit les peines cruelles depuis 1689. Mais depuis Tony Blair et le 11 septembre 2001, maintenant c’est toléré sur les étrangers, dont je suis. Dénudée, attachée, elle fouillerait mes cavités secrètes, mains gantées de latex. C’est un service public de bondage, auquel on a recours en cas d’excès de surbooking, lorsque le train est trop bondé, d’où le terme. Elle aurait découvert une kalachnikov cachée dans mon vagin, et aussi pourquoi pas quelques grenades, et un char d’assaut, et pire que tout, le sacrilège absolu : des boules de Geisha.
    
    C’est vrai, je me promène avec ça dans la journée : cela donne des sensations très agréables. Pour ce crime, on a droit à la fessée érotique, non ? Par contre, dans le rectum, rien, sinon la matière qu’évoquait Cambronne à Waterloo au général britannique Colville suggérant sa reddition. Mais moi, contrairement à l’illustre Nantais, je ne me rendrai pas : elle pourra toujours essayer de me faire parler, je ne lui dirai pas que je me suis procuré tout ce terrible matériel chezWomen’s Erotic Emporium qui ont leur propre usine dedildos à Londres et où les hommes ne sont les bienvenus que s’ils sont accompagnés par leur douce et tendre (1). Jalouse, elle me fera subir d’horribles tourments, comme des chatouilles sur les pieds ...
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