1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1039)


    Datte: 21/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

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    - Droite devant moi, jambes écartées et fière, et lèche ta mouille de chienne laissée sur mes doigts !
    
    J’obéis immédiatement comme affamée de son traitement si envoutant. Bien droite, je passais ma langue sur chacun de ses doigts qu’il me présentait à ma bouche, n’occultant aucune partie et avalant toute ma cyprine … Il était redevenu calme et affable, me caressant les seins de son autre main, pétrissant doucement mes tétons, un par un, tétons qu’il attirait avec douceur à Lui et me dit :
    
    - Tu peux te rhabiller. Je viens de te montrer très succinctement ce que tu es réellement.
    
    - Ce que tu viens de vivre n’est strictement rien à côté de ce que tu vas vivre, si tu l’acceptes librement. Nous sommes aujourd’hui samedi, je te donne jusqu’à samedi prochain, (il regarde sa montre) même heure, (2h du matin) pour venir en Ma Demeure…
    
    Ce fut les derniers mots que j’entendis de sa part cette soirée-là. Il plaça sa carte de visite au nom du Marquis d’Evans, entre mes lèvres vaginales et s’en retourna auprès de la soirée, me laissant entièrement nue sur la terrasse comme si je ne l’intéressais plus du tout.
    
    Je me rhabillais rapidement, revenais auprès des invités, tentant de retrouver ma superbe, mais de temps en temps, mon regard croisait celui du Noble en train de deviser avec d’autres convives. Il ne me regardait même plus… . A la fin de la soirée, mon chauffeur me raccompagna chez moi en mon hôtel. Mes idées étaient totalement embrouillées. Qui est cet homme ...
    ... ? Qui suis-je vraiment ? Non je n’irai pas le revoir ! Ressaisis-toi ma belle me disais-je, tu as à faire à un malade. Moi esclave ? Sûrement pas ! Je me fis couler un bain très chaud, y plongea et m’endormis. Ce fut le froid de l’eau qui me réveilla… Les jours passaient, j’étais devenue furieuse vis-à-vis de moi, exécrable pour tout dire vis-à-vis de mon entourage, capricieuse au possible au point que l’on m’en fit la remarque et le reproche. Mon agent me convainquit de prendre quelques jours de repos, ce que je fis. La date butoir approchait à grands pas et n’ayant pas le caractère à fuir, à me défiler, je me dis :
    
    - Je vais, effectivement voir ce Marquis d’Evans, voir où il vit et lui dire son fait.
    
    J’essayais de m’étourdir, sortant avec des amies, en discothèque. La date arriva. Le jour avançait lentement, les heures inexorablement s’écoulaient, l’heure limite était 2 heures du matin. Vers minuit, j’étais à la fenêtre, je vis arriver une imposante Rolls-Royce qui se gara. 1 heure du matin, je remarquai qu’elle était toujours là. Je m’habillais prestement, fis appeler un taxi et descendis. Arrivée dans le hall de l’hôtel, j’allai entrer dans le taxi, garé à côté de la Rolls, quand subitement la portière de celle-ci s’ouvrit, un homme (je sus plus tard qu’il s’agissait de Walter, le Majordome de Monsieur le Marquis d’Evans) en tenue de chauffeur en sortit, ouvrit la portière arrière et me dit :
    
    - Veuillez prendre place Madame, Monsieur le Marquis vous attend ...
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