1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1039)


    Datte: 21/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE)" -
    
    Avant que ne se serve le Maître qui a bien voulu, dans sa grande bonté, faire de moi Son esclave et Sa propriété, Lui, de la grande aristocratie française descendant d’une lignée de Marquis depuis 1625, moi, mannequin connu, nous nous étions rencontrés au cours de diverses soirées mondaines dans les hautes sphères du milieu financier et de fait dans de riches lieux tels des châteaux, ambassades ou ministères, etc... De par ses hautes responsabilités, et moi les miennes, nos rencontres se faisaient souvent et, assez vite nous nous sommes liés d’une sorte d’amitié dont les racines semblaient plus proches d’une éducation stricte et identique que par réelle affinité. Nous nous sommes perdus de vue mais un jour, (les hasards de la vie) nous sommes à nouveau « tombés » l’un en face de l’autre. Cette fois-ci, ce fut au cours d’une soirée parisienne se passant dans la riche demeure d’un fortuné mécène passionné d’Art où suite à un luxueux vernissage d’une galerie d’exposition dans un célèbre musée parisien, j’étais conviée à ladite soirée. Moi et quelques-unes de mes collègues mannequins, devions défiler lors de ce vernissage tout en arborant de somptueux bijoux, bracelets et colliers de pierres précieuses, de la Joaillerie Cartier. Lors du cocktail qui suivit chez le mécène, ce Marquis me donna du :
    
    - Madame, je vous retrouve telle qu’en vous-même vous fûtes !
    
    Cela me fit un « ...
    ... déclic », quelqu’un qui manie avec tant d’aisance l’imparfait du subjonctif (mode que j’admire et qui était communément usité à la Cour, ne pouvait être, à mes yeux, que bien né et de plus est, Noble. Fille unique de parents Hauts fonctionnaires du Ministère de l’Economie, je fus élevée selon des principes très stricts, par une nounou, et ce pendant plus de six années. Dans mon monde du mannequinat, où tout n’était par définition, que superficiel, sans oublier mes racines, je parlais la langue de tout le monde. Ce Marquis me dit la même chose. Nous avons découvert ensemble, qu’aujourd’hui, nous ne pouvions plus nous exprimer selon nos valeurs sauf à prendre le risque de ne plus se faire comprendre des autres. C’est malheureux mais ainsi ! Il me fit comprendre qu’une pincée de sel relève le goût et la saveur de la masse du plat. L’éducation, la façon de s’exprimer, le sens des mots et leur utilisation juste constituait, à Ses yeux l’essence même de la supériorité de la minorité fasse à la masse du « vulgus » dans son sens non péjoratif du terme. Cet homme raffiné et au charisme fort m’étonnait, mais ne m’attirait physiquement nullement, seule son autorité naturelle et sa grande culture générale me rapprochaient de Lui, me rappelant des racines enfouies en moi mais plus activées par la force des choses du moment. De fait, petit à petit, sans nous en rendre compte parce qu’entourés parfois de « petites gens » (mon propos n’est toujours pas péjoratif), nous avons « fonctionné » ...
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