1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1039)


    Datte: 21/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... me gifler aux yeux de tous est un outrage auquel j’exige des excuses, sachez-le ! Néanmoins j’accède à votre demande et je vous suis…
    
    Le Marquis m’entraîna sur la terrasse de la somptueuse demeure. Il était redevenu très calme, très poli et me dit ceci :
    
    - Madame, je vous respecte et vous respecterai toujours, mais demandez-vous pourquoi je vous respecte autant et pourquoi je ne vous prierai de ne pas m’excuser !
    
    - Pour ce que je suis, Monsieur, je présume. Mais me gifler ainsi devant tout le monde, sans même vous en excuser, c’est ce que vous appelez me respecter ?
    
    - Oui Madame car je vous ai giflé pour ce que vous êtes … mais vous ne vous connaissez pas encore Madame !
    
    - Et qui suis-je, Monsieur ‘je sais tout !’
    
    - esclave Madame, vous êtes une esclave née, mais vous l’ignorez encore ! Et il y a longtemps que j’ai décelé en vous, cette inévitable réalité...
    
    - es…escla… ve ? êtes-vous devenu fou Monsieur ? Complètement dérangé !
    
    - Que nenni, me répondit-il avec un large sourire, que nenni, mais je lis en vous comme dans un livre ouvert, le livre de votre vie, Vie et Destinée que vous semblez ignorer !
    
    Je suis très réactive de caractère et me reprenant immédiatement bien que très surprise par les propos tenus, je répondis sèchement :
    
    - Vous voilà bien sûr de vous, Monsieur le Marquis, apprenez qu’il n’est pas encore né celui qui me mettra à sa coupe !
    
    Je le fixais intensément !... Et lui aussi quand il se mit à rire, d’un rire pur, cristallin ...
    ... et son rire me désarçonna quelque peu je l’avoue. En riant, il se rapprocha de moi, son rire se fit moins présent, tandis que ses mains commençaient de faire tomber le châle et la sublime robe de soirée à épaules nues créée par Dior, que je portais ce soir-là. Je n’avais pas de sous-vêtements aimant me vêtir ainsi naturellement. Je me retrouvais très vite les seins à l’air juste avec le collier de pierres précieuses au cou qui brillait de tous ses éclats, tandis qu’il me dit sur un ton n’autorisant pas la réplique :
    
    - Fais tomber toi-même le reste de ta robe !
    
    Son ton avait changé et ne souffrait plus de politesses s’entendant plus comme un ordre que comme une demande. Sans savoir pourquoi, peut-être troublée par son charisme ou son autorité naturelle, j’obéis tel un automate comme si j’étais inhibée par ses paroles directives et laissa tomber à mes pieds la robe, me retrouvant vêtue uniquement que par les sublimes escarpins de soie que je portais aux pieds. Il me regardait avec intensité, faisait le tour de mon corps et tandis que je commençais de me tourner également, il me dit sèchement :
    
    - Ne bouge pas, mets tes mains derrière ta nuque, laisse-moi te regarder et prendre possession par les yeux de ton magnifique corps mettant en valeur les belles pierres précieuses de ce magnifique collier...
    
    Ses mots eurent comme mérite de déclencher en ma tête des décharges électriques, médusée que j’étais. Tandis que par la situation de me trouver ainsi exhibée à son regard ...
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