1. Où le jeu, même troublant, n'est plus un jeu


    Datte: 18/02/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, copains, hépilé, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... sentir au fond de moi. On est fous, mais tant pis ! Viens, je suis toute à toi !
    
    Je passe une main entre nos deux corps. Au travers du tissu rêche de son jeans, la longue tige frémit lorsque mes doigts l’enserrent tendrement. Je caresse lentement la preuve de son désir tandis que lui déniche mon petit bouton avide de caresses. Toujours une main entre mes jambes, il lâche mon sein et, la main sur mon épaule, me fait pivoter face au lavabo vers lequel il me pousse doucement. D’une pression sur mes omoplates, il me fait me pencher en avant. Je me retrouve en appui sur le marbre, le dos cambré. Pierre abandonne ses caresses, glisse les mains sur mes cuisses et remonte sur mes hanches, entraînant ma jupe jusque sur mes reins. Les doigts crochetés dans l’élastique de mon brésilien, il redescend sur mes jambes, me privant de l’ultime bout de dentelle qui me couvrait encore. Dentelle qu’il remplace très vite par deux mains douces, des lèvres brûlantes. À genoux derrière moi, il se régale de ma croupe impudiquement découverte, m’arrachant de longs frissons. Mais tout cesse… Il ne reste qu’une main posée sur ma hanche, qui, d’une tendre pression, me maintient dans cette position.
    
    — Kris… Tu es sûre que tu veux… ?
    — Hmmm… Ouiiiiii…
    
    Mon cœur bat la chamade, mes seins sont presque douloureux tant ils sont durs et gonflés, j’ai comme une boule brûlante au creux du ventre. Un léger frôlement entre mes cuisses me fait sursauter. C’est doux, chaud et soyeux. Pierre se redresse ...
    ... lentement. Mes lèvres intimes s’ouvrent sous la poussée virile, épousent les contours du gland oblong, accueillent la tige qui le guide, le pousse à m’investir plus profond. C’est délicieux… Il progresse encore, puissant, long et dur comme du bois mais tendre comme son maître. Les deux mains ont repris mes hanches et m’attirent pour me guider, m’empaler sur toute la longueur de ce fougueux pieu de chair vibrant de désir.
    
    Ses abdos viennent s’appuyer sur mes fesses : il est tout en moi, je suis pleine de lui, comblée, ravie. Mon adorable violeur se retire doucement ; seul son gland reste à l’orée de mon puits d’amour. Il se penche sur mon dos. Ses mains reprennent possession de mes seins, agaçant leurs pointes sensibles. D’un coup de reins, il m’investit à nouveau, fermement, presque violemment, venant buter au fond de mon ventre. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri, suivi d’un long gémissement de plaisir. Commence alors un ballet infernal. Pierre me laboure lentement, puissamment ; il fouille mon ventre de toute la vigueur et la longueur de sa tige brûlante. Je ne cherche même plus à retenir mes gémissements, mes cris. Je sens enfler en moi une grande vague de plaisir ; c’est trop bon… Je jouis longuement !
    
    L’orgasme m’a terrassée, mais Pierre m’a soutenue. Il est toujours planté en moi, encore dur et puissant. La sensation de son pieu qui frémit au fond de mon ventre rallume une nouvelle flamme.
    
    — Pierre, tu m’as fait jouir comme une folle ! C’était délicieux… ...
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