1. Où le jeu, même troublant, n'est plus un jeu


    Datte: 18/02/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, copains, hépilé, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... Mais toi ? Viens encore, mais devant moi : je veux te voir, te sentir m’envahir, te serrer contre moi, t’offrir mon ventre, mon cœur, ma tête ; je veux être toute à toi, t’embrasser quand tu vas exploser, m’inonder !
    — J’ai la plus jolie mais aussi la plus coquine des femmes entre mes bras, et je l’adore !
    
    Je l’entraîne jusque dans ma chambre. Assise au bord du lit, je l’attire à moi. Il est debout, sa tige fièrement dressée en mon honneur. Là, surprise : il est totalement épilé (ou rasé). Quelle délicatesse, et surtout quel effet ! Son sexe paraît encore plus gros, plus long, libéré d’une toison qui masque souvent bien trop de choses. Je veux goûter ce fruit gorgé de sève qui m’a offert tant de plaisir. Le coquin comprend mon désir, cambre les reins, venant frôler mes lèvres du bout de sa splendide virilité. Je la lèche tendrement… la gobe brusquement, engloutissant la moitié de ce pieu merveilleux. Il est doux, soyeux, délicieux, et c’est avec toute ma sensualité que je le fais coulisser au fond de ma gorge, les yeux dans les siens.
    
    — Oooohhh… c’est bon ! J’aime tes lèvres… Encore, s’il te plaît !
    
    Je ne peux pas répondre mais accentue ma caresse, heureuse de lui rendre un peu du plaisir qu’il a su me donner. Il résiste longuement avant que je ne le sente frémir, que sa tige ne se mette à palpiter, que son gland enfle encore… Je l’abandonne ; enserrant la base de sa queue de deux doigts, je fais retomber son désir.
    
    — Pierre… c’est dans mon ventre que je te ...
    ... veux. Viens maintenant.
    — Sadique ! Tu veux ma mort !
    — Oh non : juste ton plaisir, notre plaisir.
    
    Je me laisse glisser légèrement en avant, les fesses au bord du matelas, ouverte, offerte impudiquement. Les mains sur ses hanches, je l’attire à moi. Il se met à genoux entre mes cuisses. Sa tige frôle mon nombril, tendue, raide au gland brillant encore de ma salive. Du bout des doigts, il force le mât à descendre, pèse dessus pour venir presser le gland sur ma perle déjà excitée, m’arrachant encore un petit gémissement.
    
    — Jolie coquine… Tu voulais me voir ? Alors regarde : c’est pour toi que je bande. J’ai l’impression de n’avoir jamais été aussi dur, aussi gros… Tu dois être une sorcière ! Mais une sorcière de l’amour !
    — Oh non, juste une vieille femme qu’un vilain garçon a rendue folle.
    — C’est réciproque ; et les vieilles dames aussi belles que toi ne peuvent que tourner la tête d’un homme comme moi. Et maintenant, il va se laisser aller et violer la vieille dame !
    — Ouiii…
    
    Passant les deux mains sous mes cuisses, il me soulève légèrement, me tire vers lui, m’ouvrant encore plus largement. Je n’ai jamais été aussi excitée ! Je ne quitte pas des yeux la splendide queue qui commence à dilater mon ventre. Je contemple la lente disparition du merveilleux cylindre de chair tout en ressentant en moi son inexorable progression. Je crochète mes jambes dans son dos ; je ne veux plus qu’il me quitte, mais qu’il aille encore plus loin, qu’il me fouille, me taraude, ...